« Je salue avec déférence l’ensemble des officiants avec à leur tête le curé qui nous accueille mais surtout l’ensemble des paroissiens venus massivement célébrer en ce jour spécial, l’entrée triomphale de Jésus-Christ à Jérusalem. La vie est faite de témoignages et en notre qualité de membre du gouvernement de Côte d’Ivoire, nous savons bien que c’est Dieu qui établit les autorités. Nous savons, oh, combien de fois, il est essentiel d’avoir Dieu dans sa vie. Et au moment où l’on célèbre l’entrée de Jésus-Christ à Jérusalem, nous sommes venu apporter le salut du gouvernement ivoirien à l’ensemble des paroissiens pour dire que nous sommes avec vous. Et nous savons ce que vous faîtes pour la Côte d’Ivoire pour que la paix du Christ soit sur notre pays et qu’il le fasse toujours pour le développement de la Côte d’Ivoire.
Oui, je ne suis pas là pour faire de la politique. Je disais tantôt que la vie est faite de témoignages. Je racontais, il n’y a pas très longtemps ce qui m’est arrivé en 2014. J’étais encore directeur du Fonds d’entretien routier (FER). Après un séjour à Yamoussoukro pour faire un conseil d’administration, j’ai subi un grave accident sur la route du retour. Accident qui a handicapé définitivement mon chauffeur. Qui, depuis ce jour, a perdu l’usage de tous ses membres. J’étais dans cette voiture. Comme si prémonitoire dans mes prières adressées à Dieu quoique musulman, j’ai prié ce jour-là Nabéïssa qui n’est rien d’autre que Jésus-Christ. Dans mes prières, il m’est arrivé de terminer sur son interpellation à couvrir la route de son sang si précieux et à nous accorder son onction tout le long de notre chemin. Et n’ayant pas mis ma ceinture de sécurité, j’ai eu ce jour-là pour ceinture de sécurité Jésus-Christ. Pour ceux qui se rappellent, la presse s’en est saisi, les réseaux sociaux s’en sont emballés. Et certains me donnaient pour mort. Alors qu’il ne fit rien de tout ceci. Je suis sorti intact et indemne. Seulement tourbillonné pendant onze fois dans un tonneau pour un véhicule lancé à 170 Km/h. il était impossible de sortir vivant. Mais mon garde de corps et moi-même sommes sortis vivants sans égratignure. Mais comme Dieu m’a envoyé ce message, tout ce qu’il y avait autour de moi, était détruit. Y compris les lunettes que je portais. Mais Dieu avait mis sa main sur l’être que je suis. Et je suis sorti victorieux.
Au moment où on célèbre l’entrée triomphale de Jésus-Christ à Jérusalem, je viens pour faire ma part de contribution et surtout ma part de témoignage. Pour dire qu’il est vraiment vivant. Et qu’il mérite vraiment notre attention. Il mérite notre regard. Qu’on mette Dieu au centre de tout. En mettant Dieu au centre de tout, on sera toujours victorieux avec Jésus-Christ. Voilà ce que je suis venu vous dire. Et dire merci à tous ceux qui lèvent leurs voix vers le Seigneur pour que notre pays vive la paix du Christ pour l’éternité afin que nous connaissions le développement harmonieux pour une vie partagée et une vie solidaire. Que la Côte d’Ivoire soit heureuse avec le Christ qui règne encore pour des siècles et siècles. Oui, je le dis parce que moi-même quoique musulman, c’est par méconnaissance des règles qui font que des gens finissent par entrer en antagonisme. Je suis née d’une mère chrétienne. Mes trois frères et sœurs sont aussi chrétiens. Et je les encourage. A l’heure où je vous parle, j’ai demandé à un pasteur d’aller célébrer la Pâques à Jérusalem. (…). Je le fais parce que je crois en Dieu. Je ne le fais pas pour lui. Je le fais pour moi parce le jour où je serai en face de mon Seigneur, il faut que je puisse lui dire ce que j’ai fait et ce qu’il a pu faire pour moi. Et pour ce qu’il a donné, il faudrait que je puisse faire son œuvre. Et c’est cette quête qui m’amène vers vous. Et pour ce que j’ai pu obtenir, je viens symboliquement offrir la somme de 500.000 FCFA au curé et aux paroissiens pour Pâques, 100.000 F à la chorale, 100.000 aux scouts et 100.000F à tous ceux qui font la quête.
Pour terminer, je crois que nous aurons la chance d’avoir l’occasion de nous entretenir avec le curé, nous ferons à notre manière comment porter notre contribution pour une vie de votre foi et sa pratique en toute quiétude. Puisque nous voyons les conditions dans lesquelles vous priez. Mais pour le reste, nous en parlerons à huis clos. Que le Seigneur vous bénisse ! »
Oui, je ne suis pas là pour faire de la politique. Je disais tantôt que la vie est faite de témoignages. Je racontais, il n’y a pas très longtemps ce qui m’est arrivé en 2014. J’étais encore directeur du Fonds d’entretien routier (FER). Après un séjour à Yamoussoukro pour faire un conseil d’administration, j’ai subi un grave accident sur la route du retour. Accident qui a handicapé définitivement mon chauffeur. Qui, depuis ce jour, a perdu l’usage de tous ses membres. J’étais dans cette voiture. Comme si prémonitoire dans mes prières adressées à Dieu quoique musulman, j’ai prié ce jour-là Nabéïssa qui n’est rien d’autre que Jésus-Christ. Dans mes prières, il m’est arrivé de terminer sur son interpellation à couvrir la route de son sang si précieux et à nous accorder son onction tout le long de notre chemin. Et n’ayant pas mis ma ceinture de sécurité, j’ai eu ce jour-là pour ceinture de sécurité Jésus-Christ. Pour ceux qui se rappellent, la presse s’en est saisi, les réseaux sociaux s’en sont emballés. Et certains me donnaient pour mort. Alors qu’il ne fit rien de tout ceci. Je suis sorti intact et indemne. Seulement tourbillonné pendant onze fois dans un tonneau pour un véhicule lancé à 170 Km/h. il était impossible de sortir vivant. Mais mon garde de corps et moi-même sommes sortis vivants sans égratignure. Mais comme Dieu m’a envoyé ce message, tout ce qu’il y avait autour de moi, était détruit. Y compris les lunettes que je portais. Mais Dieu avait mis sa main sur l’être que je suis. Et je suis sorti victorieux.
Au moment où on célèbre l’entrée triomphale de Jésus-Christ à Jérusalem, je viens pour faire ma part de contribution et surtout ma part de témoignage. Pour dire qu’il est vraiment vivant. Et qu’il mérite vraiment notre attention. Il mérite notre regard. Qu’on mette Dieu au centre de tout. En mettant Dieu au centre de tout, on sera toujours victorieux avec Jésus-Christ. Voilà ce que je suis venu vous dire. Et dire merci à tous ceux qui lèvent leurs voix vers le Seigneur pour que notre pays vive la paix du Christ pour l’éternité afin que nous connaissions le développement harmonieux pour une vie partagée et une vie solidaire. Que la Côte d’Ivoire soit heureuse avec le Christ qui règne encore pour des siècles et siècles. Oui, je le dis parce que moi-même quoique musulman, c’est par méconnaissance des règles qui font que des gens finissent par entrer en antagonisme. Je suis née d’une mère chrétienne. Mes trois frères et sœurs sont aussi chrétiens. Et je les encourage. A l’heure où je vous parle, j’ai demandé à un pasteur d’aller célébrer la Pâques à Jérusalem. (…). Je le fais parce que je crois en Dieu. Je ne le fais pas pour lui. Je le fais pour moi parce le jour où je serai en face de mon Seigneur, il faut que je puisse lui dire ce que j’ai fait et ce qu’il a pu faire pour moi. Et pour ce qu’il a donné, il faudrait que je puisse faire son œuvre. Et c’est cette quête qui m’amène vers vous. Et pour ce que j’ai pu obtenir, je viens symboliquement offrir la somme de 500.000 FCFA au curé et aux paroissiens pour Pâques, 100.000 F à la chorale, 100.000 aux scouts et 100.000F à tous ceux qui font la quête.
Pour terminer, je crois que nous aurons la chance d’avoir l’occasion de nous entretenir avec le curé, nous ferons à notre manière comment porter notre contribution pour une vie de votre foi et sa pratique en toute quiétude. Puisque nous voyons les conditions dans lesquelles vous priez. Mais pour le reste, nous en parlerons à huis clos. Que le Seigneur vous bénisse ! »
