Dabou - L’opération Grand ménage, initiée par ses services pour offrir le bien-être aux populations du Leboutou, piétine, a révélé la Directrice régionale de la Salubrité, de l’Environnement et du développement durable des Grands, Gnakaby Danielle, lors de la réunion bilan, lundi, à la préfecture de Dabou.
Sur les raisons de cette situation, la directrice régionale a évoqué la non mise en place des différents comités de salubrité et de veille environnementale et que, seulement quatre sur les 22 quartiers que compte la commune de Dabou, ont pu mener l’opération de salubrité, les autres étant très peu enclin à recevoir les délégations desdits services pour écouter le message et sonner la mobilisation.
« Le problème est que la salubrité n’est pas une priorité pour les populations qui sont difficilement mobilisables à l’effet de mener des campagnes de nettoyage des rues et quartiers qui les environnent », a ajouté Mme Gnakaby, dénonçant la mauvaise interaction entre la mairie et ses services, le manque d’outils de travail et le déficit de communication qui, de fait, rendent la mise en œuvre de l’opération difficile.
Pour relancer l’opération et la rendre efficace, elle prévoit renforcer sa collaboration avec les services compétents de la mairie et des directions régionales de la construction et de la santé, renforcer la communication et la sensibilisation avec l’appui des bénévoles et des structures conventionnelles, d’agir plus efficacement pour le fonctionnement effectif des comités de salubrité et de veille environnemental.
(AIP)
bec/fmo
Sur les raisons de cette situation, la directrice régionale a évoqué la non mise en place des différents comités de salubrité et de veille environnementale et que, seulement quatre sur les 22 quartiers que compte la commune de Dabou, ont pu mener l’opération de salubrité, les autres étant très peu enclin à recevoir les délégations desdits services pour écouter le message et sonner la mobilisation.
« Le problème est que la salubrité n’est pas une priorité pour les populations qui sont difficilement mobilisables à l’effet de mener des campagnes de nettoyage des rues et quartiers qui les environnent », a ajouté Mme Gnakaby, dénonçant la mauvaise interaction entre la mairie et ses services, le manque d’outils de travail et le déficit de communication qui, de fait, rendent la mise en œuvre de l’opération difficile.
Pour relancer l’opération et la rendre efficace, elle prévoit renforcer sa collaboration avec les services compétents de la mairie et des directions régionales de la construction et de la santé, renforcer la communication et la sensibilisation avec l’appui des bénévoles et des structures conventionnelles, d’agir plus efficacement pour le fonctionnement effectif des comités de salubrité et de veille environnemental.
(AIP)
bec/fmo
