Les cacaoculteurs de Côte d'Ivoire, premier pays producteur mondial de cacao, continueront de percevoir comme en début campagne 700 francs CFA (1,4 dollars américains) le kilo de leur produit pour la campagne intermédiaire qui s'ouvre dimanche prochain sur l'ensemble du territoire national.
L'annonce a été faite jeudi par le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, au sortir d'un conseil des ministres.
"Le Conseil reconduit le barème établi au titre de la campagne principale et fixe à 700 FCFA/kg le prix garanti aux producteurs pour la campagne intermédiaire de commercialisation du cacao", a déclaré Bruno Koné.
Le gouvernement "fixe au 1er avril la date d'ouverture de la campagne intermédiaire 2018".
La Côte d'Ivoire connaît deux récoltes de cacao par an, une récolte principale du mois d'octobre au mois de mars et une récolte intermédiaire appelée encore petite traite allant d'avril à août.
Habituellement, le prix d'achat pour la saison intermédiaire se situe en dessous de celui de la campagne principale en raison de la décote qui découle du rétrécissement des fèves occasionné par la sécheresse en cette période.
La production pour la campagne principale est d'"environ deux millions de tonnes" et avec une prévision de "500 000 tonnes" pour la campagne intermédiaire, a annoncé Bruno Koné, ce qui augure d'une production record de 2,5 millions de tonnes à la fin de la campagne 2017-2018.
Au cours de la campagne écoulée, la Côte d'Ivoire a produit 2,1 millions de tonnes de fèves de cacao.
Suite aux fortes fluctuations des cours du cacao marquées par une chute de l'ordre de 40% en 2017, les deux premiers producteurs mondiaux, la Côte d'Ivoire et le Ghana ont décidé lundi à Abidjan d'"harmoniser" leurs politiques de commercialisation du cacao en annonçant, chaque année, "de manière concomitante et avant le début de la campagne, le prix aux producteurs".
Dans la déclaration signée par les présidents Alassane Ouattara et Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, les deux pays affirment leur volonté de "transformer la majeure partie" de leur production dans leurs pays respectifs et à "promouvoir conjointement la consommation du cacao sur les marchés locaux, régionaux et émergents".
Le cacao joue un rôle prépondérant dans l'économie de la Côte d'Ivoire.
Les ressources procurées par le cacao participent à hauteur de 20% du PIB de la Côte d'Ivoire, représentent près de 50% des recettes d'exportation et deux tiers des emplois directs et indirects du pays, faisant près de six millions d'Ivoiriens.
L'annonce a été faite jeudi par le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, au sortir d'un conseil des ministres.
"Le Conseil reconduit le barème établi au titre de la campagne principale et fixe à 700 FCFA/kg le prix garanti aux producteurs pour la campagne intermédiaire de commercialisation du cacao", a déclaré Bruno Koné.
Le gouvernement "fixe au 1er avril la date d'ouverture de la campagne intermédiaire 2018".
La Côte d'Ivoire connaît deux récoltes de cacao par an, une récolte principale du mois d'octobre au mois de mars et une récolte intermédiaire appelée encore petite traite allant d'avril à août.
Habituellement, le prix d'achat pour la saison intermédiaire se situe en dessous de celui de la campagne principale en raison de la décote qui découle du rétrécissement des fèves occasionné par la sécheresse en cette période.
La production pour la campagne principale est d'"environ deux millions de tonnes" et avec une prévision de "500 000 tonnes" pour la campagne intermédiaire, a annoncé Bruno Koné, ce qui augure d'une production record de 2,5 millions de tonnes à la fin de la campagne 2017-2018.
Au cours de la campagne écoulée, la Côte d'Ivoire a produit 2,1 millions de tonnes de fèves de cacao.
Suite aux fortes fluctuations des cours du cacao marquées par une chute de l'ordre de 40% en 2017, les deux premiers producteurs mondiaux, la Côte d'Ivoire et le Ghana ont décidé lundi à Abidjan d'"harmoniser" leurs politiques de commercialisation du cacao en annonçant, chaque année, "de manière concomitante et avant le début de la campagne, le prix aux producteurs".
Dans la déclaration signée par les présidents Alassane Ouattara et Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, les deux pays affirment leur volonté de "transformer la majeure partie" de leur production dans leurs pays respectifs et à "promouvoir conjointement la consommation du cacao sur les marchés locaux, régionaux et émergents".
Le cacao joue un rôle prépondérant dans l'économie de la Côte d'Ivoire.
Les ressources procurées par le cacao participent à hauteur de 20% du PIB de la Côte d'Ivoire, représentent près de 50% des recettes d'exportation et deux tiers des emplois directs et indirects du pays, faisant près de six millions d'Ivoiriens.