Abidjan- Le gouvernement ivoirien est toujours déterminé à lutter contre la cherté de la vie, a assuré le ministre du Commerce, de l'Artisanat et de la Promotion des petites et moyennes entreprises (PM), Souleymane Diarrassouba, jeudi, à la première édition de la tribune, « Les jeudis du RHDP », à l’Institut polytechnique des sciences et techniques de la communication (ISTC), à Abidjan.
Selon le ministre, le gouvernement ne lésine pas sur les efforts allant dans le sens d’atténuer voire de mettre un terme au coût élevé de la vie, au profit des populations. « Le président de la République en a fait un de ses axes prioritaires de gouvernance et le gouvernement s’attèle à la mise en œuvre de cet axe », a rappelé Souleymane Diarrassouba.
Il a expliqué qu’au regard du micro-trottoir réalisé par ses services, des mesures urgentes ont été prises aux fins d’abonder dans le sens de la réduction du coût de la vie. Il a énuméré notamment la mesure de plafonnement des prix, la diffusion à la télévision nationale d’une émission portant sur les prix des produits consommés, tant vivriers que manufacturés, la mise en place d’un conseil national de la lutte contre la cherté de la vie, etc.
« Des efforts sont faits par le gouvernement pour améliorer le niveau de vie des populations. Dès lors que nous constatons des dysfonctionnements, nous intervenons », a indiqué M. Diarrassouba, assurant que son département travaille à ce que « l’autosuffisance alimentaire soit une réalité en Côte d’Ivoire ».
En tant que panéliste, le directeur général du centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Emmanuel Essis, a fait savoir que, les efforts soutenus du gouvernement ont permis aujourd’hui, « de créer son entreprise ne serait-ce qu’avec la somme de 15 000 francs CFA ».
« Je vous invite à venir au CEPICI vous informer. L’investissement est un élément clé qui attire la croissance », a indiqué M. Essis, rappelant l’existence d’un code d’investissement profitable à tout potentiel créateur d’entreprise.
Le Premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly, conférencier invité à cette première édition de cette tribune n’a pu être présent au dernier moment « pour des contraintes majeures ».
gak/fmo
Selon le ministre, le gouvernement ne lésine pas sur les efforts allant dans le sens d’atténuer voire de mettre un terme au coût élevé de la vie, au profit des populations. « Le président de la République en a fait un de ses axes prioritaires de gouvernance et le gouvernement s’attèle à la mise en œuvre de cet axe », a rappelé Souleymane Diarrassouba.
Il a expliqué qu’au regard du micro-trottoir réalisé par ses services, des mesures urgentes ont été prises aux fins d’abonder dans le sens de la réduction du coût de la vie. Il a énuméré notamment la mesure de plafonnement des prix, la diffusion à la télévision nationale d’une émission portant sur les prix des produits consommés, tant vivriers que manufacturés, la mise en place d’un conseil national de la lutte contre la cherté de la vie, etc.
« Des efforts sont faits par le gouvernement pour améliorer le niveau de vie des populations. Dès lors que nous constatons des dysfonctionnements, nous intervenons », a indiqué M. Diarrassouba, assurant que son département travaille à ce que « l’autosuffisance alimentaire soit une réalité en Côte d’Ivoire ».
En tant que panéliste, le directeur général du centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Emmanuel Essis, a fait savoir que, les efforts soutenus du gouvernement ont permis aujourd’hui, « de créer son entreprise ne serait-ce qu’avec la somme de 15 000 francs CFA ».
« Je vous invite à venir au CEPICI vous informer. L’investissement est un élément clé qui attire la croissance », a indiqué M. Essis, rappelant l’existence d’un code d’investissement profitable à tout potentiel créateur d’entreprise.
Le Premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly, conférencier invité à cette première édition de cette tribune n’a pu être présent au dernier moment « pour des contraintes majeures ».
gak/fmo