Le Ministre Cissé Bacongo, député de la commune de Koumassi, a rendu un hommage au précurseur du zouglou Bilé Didier. C’était au cours d’une cérémonie qui a eu lieu le lundi 16 avril dernier, au cabinet privé du Ministre sis à Koumassi.
Un tableau personnalisé composé à partir de claviers de téléphone de récupération signé Mounou Désiré (artiste-peintre) représentant des wôyôs (faiseurs d’ambiance) en pleine expression artistique sur le campus. C’est cette œuvre qui a été offerte à Bilé Didier par le Ministre Cissé Bacongo afin de rendre un hommage au zouglou à travers son précurseur qui depuis 1990 a tracé les sillons de cette musique.
Cette cérémonie sobre, mais solennelle, est le prolongement d’une autre cérémonie d’hommage plus festive en zouglou, organisée par la jeunesse du quartier sogefiha de koumassi le samedi 14 avril dernier en l’honneur de Bilé Didier. Parrain de cet événement, le Ministre Cissé Bacongo qui n’a pas pu faire le déplacement a tenu à honorer personnellement l’artiste qui est un enfant de koumassi. C’est chose faite avec la remise de ce tableau expressif sur lequel l’on pouvait lire « Le Zouglou depuis 1990, Hommage au précurseur Bilé Didier l’homme qui connait sa chose ». En lui remettant cette œuvre à l’artiste, le député de Koumassi n’a pas manqué de féliciter la jeunesse de koumasi-Sogefiha pour avoir organisé cet événement d’hommage qui donne l’occasion, a-t-il dit, de « ressusciter Bilé Didier».
« Il est très rare d’être prophète chez soi et c’est la première fois que je suis honoré en Côte d’Ivoire de cette façon. Surtout après 28 ans de carrière où on a l’impression d’être en marge de la société. Un petit hommage de mon vivant vaut mieux que mille éloges à titre posthume. Je tiens donc à dire merci à toute la jeunesse de Koumassi et au ministre Cissé Ibrahim Bacongo pour cette marque de distinction », s’est exprimé Bilé Didier.
Pour rappel, c’est en 1990 que Bilé Didier, alors étudiant, monte avec des amis un groupe artistique dénommé « Les parents du campus ». Ce groupe va créer « le zouglou », une danse qui rythme avec la dénonciation des tares de la société ivoirienne, mais surtout les difficultés en milieu estudiantin.
Un tableau personnalisé composé à partir de claviers de téléphone de récupération signé Mounou Désiré (artiste-peintre) représentant des wôyôs (faiseurs d’ambiance) en pleine expression artistique sur le campus. C’est cette œuvre qui a été offerte à Bilé Didier par le Ministre Cissé Bacongo afin de rendre un hommage au zouglou à travers son précurseur qui depuis 1990 a tracé les sillons de cette musique.
Cette cérémonie sobre, mais solennelle, est le prolongement d’une autre cérémonie d’hommage plus festive en zouglou, organisée par la jeunesse du quartier sogefiha de koumassi le samedi 14 avril dernier en l’honneur de Bilé Didier. Parrain de cet événement, le Ministre Cissé Bacongo qui n’a pas pu faire le déplacement a tenu à honorer personnellement l’artiste qui est un enfant de koumassi. C’est chose faite avec la remise de ce tableau expressif sur lequel l’on pouvait lire « Le Zouglou depuis 1990, Hommage au précurseur Bilé Didier l’homme qui connait sa chose ». En lui remettant cette œuvre à l’artiste, le député de Koumassi n’a pas manqué de féliciter la jeunesse de koumasi-Sogefiha pour avoir organisé cet événement d’hommage qui donne l’occasion, a-t-il dit, de « ressusciter Bilé Didier».
« Il est très rare d’être prophète chez soi et c’est la première fois que je suis honoré en Côte d’Ivoire de cette façon. Surtout après 28 ans de carrière où on a l’impression d’être en marge de la société. Un petit hommage de mon vivant vaut mieux que mille éloges à titre posthume. Je tiens donc à dire merci à toute la jeunesse de Koumassi et au ministre Cissé Ibrahim Bacongo pour cette marque de distinction », s’est exprimé Bilé Didier.
Pour rappel, c’est en 1990 que Bilé Didier, alors étudiant, monte avec des amis un groupe artistique dénommé « Les parents du campus ». Ce groupe va créer « le zouglou », une danse qui rythme avec la dénonciation des tares de la société ivoirienne, mais surtout les difficultés en milieu estudiantin.