Agboville – Le chef du Bureau de la Représentation de la Cour Pénale Internationale(CPI) en Côte d’Ivoire, Nouhoum Sangaré, a indiqué mardi que cette "n’est pas une Cour politique, mais plutôt une Cour où la justice rendue est impartiale, équitable, transparente et pas toujours conforme aux spéculations constatée dans les médias".
La vocation première de la CPI ,a-t-il dit, est d’aider à mettre un terme à l’impunité des auteurs des crimes les plus graves touchant l’ensemble de la communauté internationale, et de contribuer ainsi à leur prévention.
Nouhoum Sangaré a fait cette mise au point au terme d'une rencontre d’échanges et d’information initiée par son institution à Agboville, pour accroître la compréhension des leaders d’opinion de ce département en faveur de la promotion de la justice et la lutte contre l’impunité, à travers la mise en œuvre du Statut de Rome, texte fondateur de la CPI.
En effet, le 17 juillet 1998, 120 Etats ont adopté à Rome -le Statut dit de Rome – instituant la Cour Pénale Internationale.
Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, des Etats ont décidé d’accepter la compétence d’une cour pénale internationale permanente, chargée de poursuivre les crimes les plus graves commis sur leur territoire ou par leurs ressortissants à compter de l’entrée en vigueur du Statut de Rome, le 1er juillet 2002.
Pour lui, il s’agissait donc de mettre à profit le 20ème anniversaire du Statut de Rome pour se rapprocher des populations afin de leur expliquer ce qu’est le statut de Rome ainsi que le mécanisme de fonctionnement de la CPI dont le sort des victimes reste une préoccupation essentielle. En ce qui concerne l’assistance et la réparation à apporter à ceux qui ont dû subir de graves traumatismes.
Car une opinion publique bien informée peut contribuer a-t-il dit, à garantir durablement le respect de la justice internationale ainsi que sa mise en œuvre.
La CPI a une représentation permanente en Côte d’Ivoire depuis 2012. Elle est basée à Abidjan, la capitale économique du pays.
(AIP)
yy/tm
La vocation première de la CPI ,a-t-il dit, est d’aider à mettre un terme à l’impunité des auteurs des crimes les plus graves touchant l’ensemble de la communauté internationale, et de contribuer ainsi à leur prévention.
Nouhoum Sangaré a fait cette mise au point au terme d'une rencontre d’échanges et d’information initiée par son institution à Agboville, pour accroître la compréhension des leaders d’opinion de ce département en faveur de la promotion de la justice et la lutte contre l’impunité, à travers la mise en œuvre du Statut de Rome, texte fondateur de la CPI.
En effet, le 17 juillet 1998, 120 Etats ont adopté à Rome -le Statut dit de Rome – instituant la Cour Pénale Internationale.
Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, des Etats ont décidé d’accepter la compétence d’une cour pénale internationale permanente, chargée de poursuivre les crimes les plus graves commis sur leur territoire ou par leurs ressortissants à compter de l’entrée en vigueur du Statut de Rome, le 1er juillet 2002.
Pour lui, il s’agissait donc de mettre à profit le 20ème anniversaire du Statut de Rome pour se rapprocher des populations afin de leur expliquer ce qu’est le statut de Rome ainsi que le mécanisme de fonctionnement de la CPI dont le sort des victimes reste une préoccupation essentielle. En ce qui concerne l’assistance et la réparation à apporter à ceux qui ont dû subir de graves traumatismes.
Car une opinion publique bien informée peut contribuer a-t-il dit, à garantir durablement le respect de la justice internationale ainsi que sa mise en œuvre.
La CPI a une représentation permanente en Côte d’Ivoire depuis 2012. Elle est basée à Abidjan, la capitale économique du pays.
(AIP)
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