L’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique, Albert Zeufack a salué les progrès réalisés par la Côte d’Ivoire au niveau économique. C’était ce mercredi 18 avril 2018, en marge de la présentation du rapport de l’Institution sur la situation économique en Afrique.
Selon l’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique, la Côte d’Ivoire a démontré que ‘’la baisse du cours des matières premières ne devrait pas être une fatalité’’. Ce d’autant qu’en dépit de la chute des cours du cacao, principal produit d’exportation du pays, la Côte d’Ivoire a réalisé une croissance de 7,4% en 2017. ‘’Le pays travaille à la transformation des matières premières. Ce qui participe à la diversification de son économie, à créer des emplois, et donc à lutter contre la pauvreté’’.
A la question de savoir que devraient faire les autres pays du continent et notamment ceux de la sous région pour suivre l’exemple de la Côte d’Ivoire, Albert Zeufack a conseillé aux Etats de ‘’travailler à diversifier leurs économies’’. Mais mieux, pour l’économiste en chef, ‘’la clé c’est l’investissement dans le capital humain, c’est investir dans les infrastructures, ainsi que le renforcement des capacités énergétiques’’.
S’il est vrai que la Côte d’Ivoire enregistre des progrès notables au plan économique, Albert Zeufack a conseillé de ‘’faire attention à la structure de la dette’’, notamment à travers les eurobonds, dont ‘’la majorité arrive à maturité autour de 2021-2022’’. Selon L’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique, les Etats gagneraient à ‘’mettre plutôt l’accent sur la mobilisations des ressources internes pour financer leurs infrastructures et bien d’autres réalisations’’.
‘’Ce rapport ne dit pas d’accroître les taxes, mais plutôt accroître la mobilisation des ressources internes. Cela suppose d’accroître l’efficacité afin que le pays puisse investir sur fonds propre pour le financement de ses infrastructures’’, a dit Albert Zeufack. S’agissant des risques liés à l’endettement, L’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique a indiqué que les causes des risques d’endettement viennent du fait que la dette a changé de structure’’.
Elisée B.
Selon l’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique, la Côte d’Ivoire a démontré que ‘’la baisse du cours des matières premières ne devrait pas être une fatalité’’. Ce d’autant qu’en dépit de la chute des cours du cacao, principal produit d’exportation du pays, la Côte d’Ivoire a réalisé une croissance de 7,4% en 2017. ‘’Le pays travaille à la transformation des matières premières. Ce qui participe à la diversification de son économie, à créer des emplois, et donc à lutter contre la pauvreté’’.
A la question de savoir que devraient faire les autres pays du continent et notamment ceux de la sous région pour suivre l’exemple de la Côte d’Ivoire, Albert Zeufack a conseillé aux Etats de ‘’travailler à diversifier leurs économies’’. Mais mieux, pour l’économiste en chef, ‘’la clé c’est l’investissement dans le capital humain, c’est investir dans les infrastructures, ainsi que le renforcement des capacités énergétiques’’.
S’il est vrai que la Côte d’Ivoire enregistre des progrès notables au plan économique, Albert Zeufack a conseillé de ‘’faire attention à la structure de la dette’’, notamment à travers les eurobonds, dont ‘’la majorité arrive à maturité autour de 2021-2022’’. Selon L’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique, les Etats gagneraient à ‘’mettre plutôt l’accent sur la mobilisations des ressources internes pour financer leurs infrastructures et bien d’autres réalisations’’.
‘’Ce rapport ne dit pas d’accroître les taxes, mais plutôt accroître la mobilisation des ressources internes. Cela suppose d’accroître l’efficacité afin que le pays puisse investir sur fonds propre pour le financement de ses infrastructures’’, a dit Albert Zeufack. S’agissant des risques liés à l’endettement, L’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique a indiqué que les causes des risques d’endettement viennent du fait que la dette a changé de structure’’.
Elisée B.
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