Abidjan, 20 avr (AIP)- Le commissaire général du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA), Salif Traoré dit Asalfo’ a indiqué vendredi, que le but de cette 11ème édition, est que chaque artiste soit un ambassadeur de la lutte contre l’immigration irrégulière à travers des actions permanentes, au cours d'une conférence de presse, à l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS).
« Ces artistes sont venus dans un festival qui porte un thème, « Jeunesse africaine et immigration clandestine ». Le but est que chacun soit ambassadeur de la lutte contre l’immigration clandestine et chacun apporte sa touche, place un mot, dans ses concerts, interviews et tournées. Elle (la lutte) doit être permanente et doit demeurer. On doit continuer jusqu’à ce que le fléau soit éradiqué », a indiqué Asalfo.
« Je n’engage pas les artistes à aller le faire et la plupart des artistes que j'ai fais venir, c’est selon les valeurs morales qu’ils dégagent, les enseignements que la jeunesse peut tirer d’eux et je crois que ces personnes sont mieux pensées pour faire cela sans qu’on leur demande », a-t-il ajouté.
Salif Traoré a, par ailleurs, souligné que l’objectif premier du FEMUA, c’est de venir en aide à des populations qui ont en besoin et prendre la musique comme canal pour pouvoir véhiculer des messages. « Le but du FEMUA, c’est que je puisse inviter des artistes, qui vont réunir des sponsors autour et qui vont croire en notre projet pour nous accompagner dans la construction d’écoles et d’hôpitaux », a-t-il expliqué, signifiant que MTN Côte d’Ivoire, le principal sponsor, apprécie leur vision.
L’organisation du FEMUA à Anoumabo ou à l’INJS crée 3.000 emplois directs et indirects notamment les chauffeurs, les restauratrices, les démonteurs de podiums, fait savoir Asalfo.
(AIP)
ena/fmo
« Ces artistes sont venus dans un festival qui porte un thème, « Jeunesse africaine et immigration clandestine ». Le but est que chacun soit ambassadeur de la lutte contre l’immigration clandestine et chacun apporte sa touche, place un mot, dans ses concerts, interviews et tournées. Elle (la lutte) doit être permanente et doit demeurer. On doit continuer jusqu’à ce que le fléau soit éradiqué », a indiqué Asalfo.
« Je n’engage pas les artistes à aller le faire et la plupart des artistes que j'ai fais venir, c’est selon les valeurs morales qu’ils dégagent, les enseignements que la jeunesse peut tirer d’eux et je crois que ces personnes sont mieux pensées pour faire cela sans qu’on leur demande », a-t-il ajouté.
Salif Traoré a, par ailleurs, souligné que l’objectif premier du FEMUA, c’est de venir en aide à des populations qui ont en besoin et prendre la musique comme canal pour pouvoir véhiculer des messages. « Le but du FEMUA, c’est que je puisse inviter des artistes, qui vont réunir des sponsors autour et qui vont croire en notre projet pour nous accompagner dans la construction d’écoles et d’hôpitaux », a-t-il expliqué, signifiant que MTN Côte d’Ivoire, le principal sponsor, apprécie leur vision.
L’organisation du FEMUA à Anoumabo ou à l’INJS crée 3.000 emplois directs et indirects notamment les chauffeurs, les restauratrices, les démonteurs de podiums, fait savoir Asalfo.
(AIP)
ena/fmo