Depuis 2013, la Côte d’Ivoire négocie un Accord de partenariat volontaire (APV-FLEGT) avec l’Union européenne dont l’objectif est de lutter efficacement contre l’exploitation illégale du bois et le commerce qui lui est associé.
Le comité technique de négociation de cet accord a initié ce jour à Abidjan la première édition du FLEGT dont le thème s’articule autour de l’observation indépendante dans la gouvernance forestière en Côte d’Ivoire : enjeux, défis et perspectives »
L’exportation forestière illégale constitue une cause de dégradation des forêts, d’appauvrissement des populations qui en vivent, du réchauffement climatique et d’évasions des recettes liées à la fiscalité forestière.
Selon la Banque mondiale, les pertes annuelles en revenus fiscaux sont estimées à 10 milliards de dollars américain.
Président de cette première édition, le ministre des Eaux et forêts, Richard-Alain Donwahi a annoncé que le gouvernement ivoirien est déterminé à poursuivre et à formaliser l’ensemble des réformes engagées afin de reconquérir et d’assurer la gestion durable de son patrimoine forestier.
C’est pourquoi, selon lui, le pays et l’UE réalisent depuis le 29 mars 2018 la revue conjointe du processus APV-FLEGT.
«Le Président de la république et son gouvernement entendent accompagner ce processus à travers des actions concrètes sur le terrain en vue d’une meilleure gouvernance du secteur forestier et d’une meilleure compétitivité des produits forestiers ligneux sur les marchés internationaux, » a ajouté Alain-Richard Donwahi.
Faisant allusion au thème, il a précisé que le gouvernement a élaboré une politique de préservation et de réhabilitation des forêts.
Cette politique vise entre autres à répondre aux défis liés à la gouvernance forestière, à la lutte contre le changement climatique et à la réduction de la pauvreté.
Il a enfin affirmé que la dématérialisation des procédures initiées par le gouvernement est également une réalité au niveau de son ministère et sa première phase porte sur 15 procédures de gestion.
Le chef de la délégation de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, Jean-François Vallet a annoncé que le pays pourra exporter sans formalité son bois vers la zone UE sauf si son processus aboutit.
Il a souhaité l’accélération et l’aboutissement de l’APV pour que le pays bénéficie de ces avantages focalisés sur les problématiques juridiques de la légalité du bois.
Jean-François Vallet a enfin appelé, les pays tropicaux à l’ouverture des problèmes du secteur pour avoir une vision d’ensemble.
Cette première édition consiste comme l’a rappelé le président du comité d’organisation à échanger sur les mécanismes d’amélioration de la gouvernance forestière et le renforcement de la gouvernance dans le secteur forestier.
Le comité technique de négociation de cet accord a initié ce jour à Abidjan la première édition du FLEGT dont le thème s’articule autour de l’observation indépendante dans la gouvernance forestière en Côte d’Ivoire : enjeux, défis et perspectives »
L’exportation forestière illégale constitue une cause de dégradation des forêts, d’appauvrissement des populations qui en vivent, du réchauffement climatique et d’évasions des recettes liées à la fiscalité forestière.
Selon la Banque mondiale, les pertes annuelles en revenus fiscaux sont estimées à 10 milliards de dollars américain.
Président de cette première édition, le ministre des Eaux et forêts, Richard-Alain Donwahi a annoncé que le gouvernement ivoirien est déterminé à poursuivre et à formaliser l’ensemble des réformes engagées afin de reconquérir et d’assurer la gestion durable de son patrimoine forestier.
C’est pourquoi, selon lui, le pays et l’UE réalisent depuis le 29 mars 2018 la revue conjointe du processus APV-FLEGT.
«Le Président de la république et son gouvernement entendent accompagner ce processus à travers des actions concrètes sur le terrain en vue d’une meilleure gouvernance du secteur forestier et d’une meilleure compétitivité des produits forestiers ligneux sur les marchés internationaux, » a ajouté Alain-Richard Donwahi.
Faisant allusion au thème, il a précisé que le gouvernement a élaboré une politique de préservation et de réhabilitation des forêts.
Cette politique vise entre autres à répondre aux défis liés à la gouvernance forestière, à la lutte contre le changement climatique et à la réduction de la pauvreté.
Il a enfin affirmé que la dématérialisation des procédures initiées par le gouvernement est également une réalité au niveau de son ministère et sa première phase porte sur 15 procédures de gestion.
Le chef de la délégation de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, Jean-François Vallet a annoncé que le pays pourra exporter sans formalité son bois vers la zone UE sauf si son processus aboutit.
Il a souhaité l’accélération et l’aboutissement de l’APV pour que le pays bénéficie de ces avantages focalisés sur les problématiques juridiques de la légalité du bois.
Jean-François Vallet a enfin appelé, les pays tropicaux à l’ouverture des problèmes du secteur pour avoir une vision d’ensemble.
Cette première édition consiste comme l’a rappelé le président du comité d’organisation à échanger sur les mécanismes d’amélioration de la gouvernance forestière et le renforcement de la gouvernance dans le secteur forestier.