Abengourou - Le nombre de cas de personne atteinte du paludisme est en nette régression en Côte, selon le directeur coordonnateur du programme de lutte contre le paludisme (PNLP), Dr. Tano Méa Antoine.
« Grâce à l’action du gouvernement et l’appui des partenaires, le nombre de cas de paludisme a connu une régression considérable », a-t-il déclaré à la presse à l’occasion de la commémoration lundi de la journée mondiale de lutte contre le paludisme.
Le directeur coordonateur du PNLP a étayé ses propos par des chiffres qui illustrent bien cette « régression considérable ». Il a, notamment, indiqué que le nombre de cas de paludisme est passé de 4 millions en 2016 à moins de 3,5 millions en 2017. Quant au nombre de décès dû au paludisme, il est passé, selon lui, de 4 115 morts en 2016 à 3 222 en 2017.
Il a également justifié ce net recul du paludisme en Côte d’Ivoire par la baisse du taux des consultations dans les formations sanitaires publiques dues au paludisme. Ces taux sont passés de 50% en 2012 à 33% en 2017.
Le premier responsable du PNLP attribue ce recul de la pandémie du paludisme à l’effet conjugué de plusieurs facteurs. Il a cité, entre autres, le rapprochement des services de prévention et de prise en charge des populations grâce à l’action des agents de santé communautaires qui interviennent dans les villages, la gratuité des soins et le fort taux d’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action estimé à 60% à fin 2016 alors qu’il était à 33% en 2012.
Malgré ces résultants satisfaisants beaucoup reste à faire, selon le patron du PNLP qui en appelle à la contribution de tous pour éliminer le paludisme en Côte d’Ivoire. « C’est vrai qu’aujourd’hui il y a des acquis importants, mais beaucoup reste à faire. Si nous voulons vraiment éliminer le paludisme, il faut que chacun s’engage à vaincre cette maladie en rendant propre son environnement et en dormant sous une moustiquaire imprégnée », a-t-il recommandé.
rkk
« Grâce à l’action du gouvernement et l’appui des partenaires, le nombre de cas de paludisme a connu une régression considérable », a-t-il déclaré à la presse à l’occasion de la commémoration lundi de la journée mondiale de lutte contre le paludisme.
Le directeur coordonateur du PNLP a étayé ses propos par des chiffres qui illustrent bien cette « régression considérable ». Il a, notamment, indiqué que le nombre de cas de paludisme est passé de 4 millions en 2016 à moins de 3,5 millions en 2017. Quant au nombre de décès dû au paludisme, il est passé, selon lui, de 4 115 morts en 2016 à 3 222 en 2017.
Il a également justifié ce net recul du paludisme en Côte d’Ivoire par la baisse du taux des consultations dans les formations sanitaires publiques dues au paludisme. Ces taux sont passés de 50% en 2012 à 33% en 2017.
Le premier responsable du PNLP attribue ce recul de la pandémie du paludisme à l’effet conjugué de plusieurs facteurs. Il a cité, entre autres, le rapprochement des services de prévention et de prise en charge des populations grâce à l’action des agents de santé communautaires qui interviennent dans les villages, la gratuité des soins et le fort taux d’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action estimé à 60% à fin 2016 alors qu’il était à 33% en 2012.
Malgré ces résultants satisfaisants beaucoup reste à faire, selon le patron du PNLP qui en appelle à la contribution de tous pour éliminer le paludisme en Côte d’Ivoire. « C’est vrai qu’aujourd’hui il y a des acquis importants, mais beaucoup reste à faire. Si nous voulons vraiment éliminer le paludisme, il faut que chacun s’engage à vaincre cette maladie en rendant propre son environnement et en dormant sous une moustiquaire imprégnée », a-t-il recommandé.
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