Abidjan- La phase écrite des épreuves du concours d’entrée à l’Ecole africaine des métiers de l’architecture et de l’urbanisme (EAMAU), à Lomé au Togo, a débuté mardi pour s’achever mercredi à la Chambre de commerce et d'industrie d’Abidjan.
Cette année, 119 candidats (78,2% de garçons et 21,8% de filles) prennent part à ce concours, soit 91 en Architecture, quatre en Gestion urbaine et 24 en Urbanisme. Au total, 113 d’entre eux sont Ivoiriens, trois Béninois, trois autres Burkinabé et un Malien.
Le directeur des Examens, des Concours et de l’Orientation (DEXCO) du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Assoumou Antoine, a constaté le bon déroulement des épreuves et lancé un appel aux futurs bacheliers, leur indiquant que le concours leur est accessible pour l’année prochaine et qu’il n’y a pas de risque de chômage au retour de la formation avec le boom immobilier observé au niveau de la Côte d’Ivoire.
L’admission définitive dans l’une des filières de l’Ecole africaine des métiers de l’architecture et de l’urbanisme de Lomé est subordonnée à l’obtention d’une bourse d’études du pays du candidat admis. L’EAMAU accueille aussi des élèves pouvant s’acquitter des frais annuels de scolarité ayant obtenu une moyenne supérieure ou égale à 12/20 au concours. Les résultats seront proclamés le 14 juillet.
L’EAMAU, basée à Lomé, est une institution regroupant 14 pays d’Afrique francophone au Sud du Sahara. Elle est fondée par une résolution du sommet des Chefs d’États de l’Organisation commune africaine et malgache (OCAM) en 1975, à la suite d’une étude de l’UNESCO sur la nécessité d’une institution de formation en architecture et urbanisme, au bénéfice des États africains en pleine croissance urbaine.
aaa/akn/cmas
Cette année, 119 candidats (78,2% de garçons et 21,8% de filles) prennent part à ce concours, soit 91 en Architecture, quatre en Gestion urbaine et 24 en Urbanisme. Au total, 113 d’entre eux sont Ivoiriens, trois Béninois, trois autres Burkinabé et un Malien.
Le directeur des Examens, des Concours et de l’Orientation (DEXCO) du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Assoumou Antoine, a constaté le bon déroulement des épreuves et lancé un appel aux futurs bacheliers, leur indiquant que le concours leur est accessible pour l’année prochaine et qu’il n’y a pas de risque de chômage au retour de la formation avec le boom immobilier observé au niveau de la Côte d’Ivoire.
L’admission définitive dans l’une des filières de l’Ecole africaine des métiers de l’architecture et de l’urbanisme de Lomé est subordonnée à l’obtention d’une bourse d’études du pays du candidat admis. L’EAMAU accueille aussi des élèves pouvant s’acquitter des frais annuels de scolarité ayant obtenu une moyenne supérieure ou égale à 12/20 au concours. Les résultats seront proclamés le 14 juillet.
L’EAMAU, basée à Lomé, est une institution regroupant 14 pays d’Afrique francophone au Sud du Sahara. Elle est fondée par une résolution du sommet des Chefs d’États de l’Organisation commune africaine et malgache (OCAM) en 1975, à la suite d’une étude de l’UNESCO sur la nécessité d’une institution de formation en architecture et urbanisme, au bénéfice des États africains en pleine croissance urbaine.
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