Claude Isaac Dé, ministre de la Construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme (MCLAU) a reçu, vendredi, à son cabinet une délégation du notariat international composée notamment de Didier Nourrissat, membre du notariat français et Fulgence Ahaubaut-Besset, vice-président de la chambre des notaires de Côte d'Ivoire. La rencontre avait pour objectif d’échanger sur l’organisation de la copropriété en Côte d'Ivoire. Le cadre législatif, la réglementation et les questions d’usage pratique de la copropriété ont été abordés lors des discussions qui se sont déroulées à huis clos.
Cette question est importante pour les familles, a insisté le ministre Claude Isaac Dé. À ce jour, la copropriété étant dynamique, le ministère se veut ouvert à tout apport afin d’assurer avec sérénité un bon cadre de vie aux Ivoiriens. Car, comme l’a souligné Didier Nourrissat, « dans la copropriété on achète un mode de vie».
Notons que la copropriété a pris naissance en Côte d’Ivoire dans les années 60 avec les constructions édifiées par les sociétés parapubliques comme la SICOGI et la SOGEFIHA. Dès lors que les locataires sont devenus propriétaires de ces logements, les sociétés d’État se sont désengagées dans la gestion des cités. Cette situation a entrainé le déclin de la copropriété et par ricochet une détérioration du cadre de vie. Vu l’urgence de relancer la copropriété le ministère de la Construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme a mis en place un certain nombre de dispositifs juridique et social afin d’assainir l’espace commun des habitants dans les quartiers.
D.T
Cette question est importante pour les familles, a insisté le ministre Claude Isaac Dé. À ce jour, la copropriété étant dynamique, le ministère se veut ouvert à tout apport afin d’assurer avec sérénité un bon cadre de vie aux Ivoiriens. Car, comme l’a souligné Didier Nourrissat, « dans la copropriété on achète un mode de vie».
Notons que la copropriété a pris naissance en Côte d’Ivoire dans les années 60 avec les constructions édifiées par les sociétés parapubliques comme la SICOGI et la SOGEFIHA. Dès lors que les locataires sont devenus propriétaires de ces logements, les sociétés d’État se sont désengagées dans la gestion des cités. Cette situation a entrainé le déclin de la copropriété et par ricochet une détérioration du cadre de vie. Vu l’urgence de relancer la copropriété le ministère de la Construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme a mis en place un certain nombre de dispositifs juridique et social afin d’assainir l’espace commun des habitants dans les quartiers.
D.T