Le gouvernement ivoirien a annoncé mercredi à Abidjan "la mise en place progressive d’une police de l’environnement et d’une police de la construction et de l’urbanisme", dans le cadre des mesures arrêtées pour faire face aux catastrophes liées aux pluies diluviennes, après un conseil des ministres.
"Pour faire face aux catastrophes, le gouvernement a arrêté des mesures" dont "la mise en place progressive d’une police de l’environnement et d’une police de de la construction et de l’urbanisme, chargées de faire respecter les règles dans ces domaines", a indiqué le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
"L’intensification de l’opération de curage des caniveaux, la sensibilisation des populations et le relogement temporaire des ménages déguerpis", figurent au nombre des mesures prises par le gouvernement.
Les 10 et 11 mai, les pluies qui se sont abattues sur Abidjan et l’intérieur du pays ont fait deux morts dans la capitale économique ivoirienne et causé de nombreux dégâts matériels, notamment la dégradation des infrastructures routières dans certaines villes.
Une trentaine de véhicules ont été également immergés au carrefour de l’Indénié, dans la commune d’Adjamé (Nord d’Abidjan).
M. Koné a évoqué une abondance des précipitations (entre 60 et 90 millimètres de pluie), alors que le seuil critique se situe à 50 millimètres à Abidjan, la présence de déchets solides dans les ouvrages de drainage, et les constructions anarchiques.
Pour lui, les dégâts causés par ces pluies "auraient été moindres s’il y avait eu un respect des règles d’urbanisme et d’assainissement’.
Le 03 mai, le porte-parole du gouvernement a annoncé une "saison des pluies plus forte que celle de (2017), avec d’importantes précipitations sur l’ensemble du territoire national".
En 2017, 15 décès ont été enregistrés, deux disparus, 25 blessés, 1.139 maisons inondées, 233 habitations effondrées dans les pluies diluviennes, selon un bilan du gouvernement.
"Pour faire face aux catastrophes, le gouvernement a arrêté des mesures" dont "la mise en place progressive d’une police de l’environnement et d’une police de de la construction et de l’urbanisme, chargées de faire respecter les règles dans ces domaines", a indiqué le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
"L’intensification de l’opération de curage des caniveaux, la sensibilisation des populations et le relogement temporaire des ménages déguerpis", figurent au nombre des mesures prises par le gouvernement.
Les 10 et 11 mai, les pluies qui se sont abattues sur Abidjan et l’intérieur du pays ont fait deux morts dans la capitale économique ivoirienne et causé de nombreux dégâts matériels, notamment la dégradation des infrastructures routières dans certaines villes.
Une trentaine de véhicules ont été également immergés au carrefour de l’Indénié, dans la commune d’Adjamé (Nord d’Abidjan).
M. Koné a évoqué une abondance des précipitations (entre 60 et 90 millimètres de pluie), alors que le seuil critique se situe à 50 millimètres à Abidjan, la présence de déchets solides dans les ouvrages de drainage, et les constructions anarchiques.
Pour lui, les dégâts causés par ces pluies "auraient été moindres s’il y avait eu un respect des règles d’urbanisme et d’assainissement’.
Le 03 mai, le porte-parole du gouvernement a annoncé une "saison des pluies plus forte que celle de (2017), avec d’importantes précipitations sur l’ensemble du territoire national".
En 2017, 15 décès ont été enregistrés, deux disparus, 25 blessés, 1.139 maisons inondées, 233 habitations effondrées dans les pluies diluviennes, selon un bilan du gouvernement.