Abidjan - La Côte d’Ivoire bénéficie d’un appui budgétaire de 2,715 milliards FCFA du Japon et du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), pour le financement du Projet de renforcement des capacités de préventions des catastrophes pour l’amélioration de la protection civile.
Cet appui a fait l’objet d’une signature de convention jeudi à Abidjan ente le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, l’Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Kawamura Hiroshi et le représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Babacar Cissé.
L’ambassadeur du Japon a expliqué que cet appui est destiné à la réhabilitation des infrastructures et à l’équipement de cinq centres de secours d’urgences à Grand-Bassam, Dabou, Guiglo, Soubré, Séguéla ainsi qu'à la formation de quelque 250 pompiers civils. « Dans le cadre de ce Projet, les capacités institutionnelles, managériales et opérationnelles de l’ONPC seront renforcées, y compris l’appui à la mobilisation communautaire », a-t-il indiqué.
Pour le représentant du PNUD, ce projet traduit un engagement fort du Gouvernement ivoirien pour la prévention des risques de catastrophes, l’organisation et la coordination des secours d’urgence et la protection des populations. Babacar Cissé a souligné que le Projet bénéficie d’un financement du Gouvernement japonais d’un montant de 3.575.000 USD et d’une contribution du Fonds de consolidation de la paix des Nations Unies de près de 1.425.000 USD.
« Son exécution viendra soutenir le dispositif conduit par l’Office national de la protection civile (ONPC), en parfaite synergie avec les autres concours apportés à la consolidation des actions de prévention et de gestion des risques de catastrophes, notamment au niveau communautaire », a-t-il assuré.
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a salué ce geste des partenaires de la Côte d’Ivoire. Sidiki Diakité a expliqué que ce Projet sera exécuté sur une période de trois ans à partir du mois de juillet pour prendre fin en juillet 2021. « Ce Projet permettra à terme de répondre aux défis de l’heure, s’agissant des sinistres auxquels nous faisons face en saison de pluies et dans bien de situations de catastrophes », a-t-il relevé, exhortant la direction en charge de la protection civile à se l’approprier et à maximiser son impact à travers des interventions promptes et précises.
gak/cmas
Cet appui a fait l’objet d’une signature de convention jeudi à Abidjan ente le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, l’Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Kawamura Hiroshi et le représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Babacar Cissé.
L’ambassadeur du Japon a expliqué que cet appui est destiné à la réhabilitation des infrastructures et à l’équipement de cinq centres de secours d’urgences à Grand-Bassam, Dabou, Guiglo, Soubré, Séguéla ainsi qu'à la formation de quelque 250 pompiers civils. « Dans le cadre de ce Projet, les capacités institutionnelles, managériales et opérationnelles de l’ONPC seront renforcées, y compris l’appui à la mobilisation communautaire », a-t-il indiqué.
Pour le représentant du PNUD, ce projet traduit un engagement fort du Gouvernement ivoirien pour la prévention des risques de catastrophes, l’organisation et la coordination des secours d’urgence et la protection des populations. Babacar Cissé a souligné que le Projet bénéficie d’un financement du Gouvernement japonais d’un montant de 3.575.000 USD et d’une contribution du Fonds de consolidation de la paix des Nations Unies de près de 1.425.000 USD.
« Son exécution viendra soutenir le dispositif conduit par l’Office national de la protection civile (ONPC), en parfaite synergie avec les autres concours apportés à la consolidation des actions de prévention et de gestion des risques de catastrophes, notamment au niveau communautaire », a-t-il assuré.
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a salué ce geste des partenaires de la Côte d’Ivoire. Sidiki Diakité a expliqué que ce Projet sera exécuté sur une période de trois ans à partir du mois de juillet pour prendre fin en juillet 2021. « Ce Projet permettra à terme de répondre aux défis de l’heure, s’agissant des sinistres auxquels nous faisons face en saison de pluies et dans bien de situations de catastrophes », a-t-il relevé, exhortant la direction en charge de la protection civile à se l’approprier et à maximiser son impact à travers des interventions promptes et précises.
gak/cmas