Abidjan- L’Etat ivoirien ambitionne de porter la couverture forestière d’au moins 20% du territoire national contre 11% aujourd’hui, à travers une nouvelle politique de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts.
Réuni jeudi, sous la présidence du chef de l’Etat au palais de la présidence à Abidjan, le Conseil présidentiel sur la politique forestière, tout en faisant un état des lieux du couvert forestier, a jugé impérieux de prendre des mesures pour protéger, réhabiliter et faire une extension des forêts existantes.
En effet, a évoqué le ministre des Eaux et Forêts, Alain Richard Donwahi, de 16 millions d’hectares de forêt en 1960, le couvert forestier du pays n’est plus que de 3,4 millions d’hectares aujourd’hui.
Face à cette situation, une nouvelle politique permettra de faire en sorte que les forêts classées soient recouvrées le plus rapidement possible, notamment par la prise de mesures telles que la relocalisation des communautés quand cela est nécessaire, a estimé le premier responsable de la gestion des eaux et forêts en Côte d’Ivoire.
Le président de la République et le gouvernement ont donc décidé de réagir en mettant à la disposition du ministère des Eaux et Forêts des moyens idoines pour atteindre les objectifs de préserver la biodiversité, d’améliorer le cadre de vie des populations et de contribuer au respect des engagements internationaux auxquels les pays a souscrit.
kp
Réuni jeudi, sous la présidence du chef de l’Etat au palais de la présidence à Abidjan, le Conseil présidentiel sur la politique forestière, tout en faisant un état des lieux du couvert forestier, a jugé impérieux de prendre des mesures pour protéger, réhabiliter et faire une extension des forêts existantes.
En effet, a évoqué le ministre des Eaux et Forêts, Alain Richard Donwahi, de 16 millions d’hectares de forêt en 1960, le couvert forestier du pays n’est plus que de 3,4 millions d’hectares aujourd’hui.
Face à cette situation, une nouvelle politique permettra de faire en sorte que les forêts classées soient recouvrées le plus rapidement possible, notamment par la prise de mesures telles que la relocalisation des communautés quand cela est nécessaire, a estimé le premier responsable de la gestion des eaux et forêts en Côte d’Ivoire.
Le président de la République et le gouvernement ont donc décidé de réagir en mettant à la disposition du ministère des Eaux et Forêts des moyens idoines pour atteindre les objectifs de préserver la biodiversité, d’améliorer le cadre de vie des populations et de contribuer au respect des engagements internationaux auxquels les pays a souscrit.
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