Agboville- Le ministère de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la Solidarité a ouvert jeudi, dans les locaux de la préfecture d'Agboville, un atelier sur le ‘’Dialogue intercommunautaire’’ en vue de consolider la cohésion sociale, fragilisée à la suite d’affrontements survenus en novembre 2017 entre les communautés abbey et malinké.
Ce dialogue intercommunautaire de trois jours, du 17 au 19 mai, initié par le ministère en charge de la solidarité avec l’appui financier du PNUD, a pour objectif de permettre aux participants issus de toutes les composantes de la population locale d’identifier les points de vulnérabilité de la cohésion sociale et les effets du conflit sur les communautés.
De sorte à proposer des mécanismes pour rétablir la confiance et les rapports sociaux entre les communautés.
Ce, par l’appui des processus de prévention et de résolution pacifique des conflits.
Outre l’analyse de la situation du conflit, suivie des sessions d’écoute séparées des 180 participants, la rencontre de dialogue proprement dite est composée de travaux en atelier, de restitution en plénière et d’un repas communautaire le dernier jour.
Un mécanisme de suivi post-activité aura la tâche d’accorder une attention particulière à la mise en œuvre des recommandations qui seront prises selon le sous-directeur en charge de la solidarité et de la cohésion sociale, Dogo Kobena Olivier du ministère de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la solidarité.
Les participants à ces journées de dialogue intercommunautaire sont issus de toutes les communautés autochtones ou étrangères vivant dans la localité. A savoir, les autorités religieuses, les leaders d’opinion, les représentants des femmes, des jeunes, des mutuelles de développement, les autorités administratives locales, les élus et cadres.
yy/akn/fmo
Ce dialogue intercommunautaire de trois jours, du 17 au 19 mai, initié par le ministère en charge de la solidarité avec l’appui financier du PNUD, a pour objectif de permettre aux participants issus de toutes les composantes de la population locale d’identifier les points de vulnérabilité de la cohésion sociale et les effets du conflit sur les communautés.
De sorte à proposer des mécanismes pour rétablir la confiance et les rapports sociaux entre les communautés.
Ce, par l’appui des processus de prévention et de résolution pacifique des conflits.
Outre l’analyse de la situation du conflit, suivie des sessions d’écoute séparées des 180 participants, la rencontre de dialogue proprement dite est composée de travaux en atelier, de restitution en plénière et d’un repas communautaire le dernier jour.
Un mécanisme de suivi post-activité aura la tâche d’accorder une attention particulière à la mise en œuvre des recommandations qui seront prises selon le sous-directeur en charge de la solidarité et de la cohésion sociale, Dogo Kobena Olivier du ministère de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la solidarité.
Les participants à ces journées de dialogue intercommunautaire sont issus de toutes les communautés autochtones ou étrangères vivant dans la localité. A savoir, les autorités religieuses, les leaders d’opinion, les représentants des femmes, des jeunes, des mutuelles de développement, les autorités administratives locales, les élus et cadres.
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