Abidjan – La ministre de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie a exhorté, lundi, le corps médical du service des Urgences du Centre hospitalier Universitaire (CHU) de Treichville à faire preuve d’humanisme dans la prise en charge des malades.
« Parfois , vous oubliez qu’en plus de soins que vous prodiguez, il faut faire accompagner ses soins de beaucoup d’humanisme, de compassion », a indiqué la ministre de la santé et de l’hygiène publique, au terme de la visite du service des Urgences du Chu de Treichville réhabilité.
Pour Dr Goudou Raymonde, les patients sont des êtres humains, des personnes, qui méritent attention. « Une phrase, Un mot de réconfort, une attention particulière, cela fait du bien. Mettez vous à la place des gens. », a-t-elle préconisé.
Dr Goudou a demandé au personnel de santé, un changement de méthodes. « Je vous demande de tourner la page à l’insensibilité. La routine vous emmène à cela, vous donne d’oublier, qu’ un petit mot gentil est essentiel », a-t-elle dit.
Cette volonté d’offrir un service de qualité aux malades a poussé le gouvernement ivoirien à procéder à la fermeture des services des urgences, pour répondre aux normes internationales et éviter aux patients des infections nosocomiales, des maladies contractées dans un hôpital, selon la ministre de la santé et de l’hygiène publique.
Les services des urgences ont désormais une capacité de 17 lits et trois brancards. Dirigé par Etienne Yao, cet établissement sanitaire portait à sa création, en 1938, le nom d’hôpital annexe de l’hôpital central du Plateau à Abidjan.
Il a été érigé en Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) en 1984, avant d’obtenir en 2001, ses attributions , son organisation, son fonctionnement actuel.
(AIP)
nmfa/kam
« Parfois , vous oubliez qu’en plus de soins que vous prodiguez, il faut faire accompagner ses soins de beaucoup d’humanisme, de compassion », a indiqué la ministre de la santé et de l’hygiène publique, au terme de la visite du service des Urgences du Chu de Treichville réhabilité.
Pour Dr Goudou Raymonde, les patients sont des êtres humains, des personnes, qui méritent attention. « Une phrase, Un mot de réconfort, une attention particulière, cela fait du bien. Mettez vous à la place des gens. », a-t-elle préconisé.
Dr Goudou a demandé au personnel de santé, un changement de méthodes. « Je vous demande de tourner la page à l’insensibilité. La routine vous emmène à cela, vous donne d’oublier, qu’ un petit mot gentil est essentiel », a-t-elle dit.
Cette volonté d’offrir un service de qualité aux malades a poussé le gouvernement ivoirien à procéder à la fermeture des services des urgences, pour répondre aux normes internationales et éviter aux patients des infections nosocomiales, des maladies contractées dans un hôpital, selon la ministre de la santé et de l’hygiène publique.
Les services des urgences ont désormais une capacité de 17 lits et trois brancards. Dirigé par Etienne Yao, cet établissement sanitaire portait à sa création, en 1938, le nom d’hôpital annexe de l’hôpital central du Plateau à Abidjan.
Il a été érigé en Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) en 1984, avant d’obtenir en 2001, ses attributions , son organisation, son fonctionnement actuel.
(AIP)
nmfa/kam