Du côté de la maison Pathé’O, les nouvelles sont bonnes. Le patron est revenu d’une visite enrichissante en Corée du Sud. Invité à participer aux Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement qui se sont tenues du 21 au 25 mai à Busan, la grande ville portuaire sud-coréenne, Pathé’O a présenté un défilé qui a été bien apprécié. Que ce soit les banquiers et autres invités de l’institution financière panafricaine ou leurs hôtes, les Sud-Coréens, chacun a été séduit par Sahel Suite, la nouvelle collection du Ciseau d’Or 1987.
Et bien, pour faire le déplacement asiatique, Pathé’O n’a pas fait dans la dentelle. Il a sorti un ensemble de tenues hommes et dames réalisées dans du pagne tissé notamment le Faso Dan Fani, le voile teinté ou le lin associé au pagne. Ce qui a surtout captivé l’attention des spectateurs, ce sont les lignes fluides des habits mises en exergue par des couleurs assez vives. « Ça a été vraiment une expérience très enrichissante. Il y a une grande différence entre l’Afrique et la Corée du Sud mais la mode n’a pas de frontière. C’est ainsi que les gens ont apprécié ce que nous avons proposé. La mode parle. Elle est toute seule un message. Alors, en présentant nos créations, on est tout de suite entré dans le cœur des Coréens, des invités et des fonctionnaires de la Bad », soutient Pathé’O.
Cela faisait la 2è année consécutive que Pathé’O participait aux Assemblées annuelles de la BAD. L’an dernier, c’était à Ahmedabad en Inde comme panéliste pour parler de l’industrialisation de la mode africaine. Pendant cette réunion 2018 de la BAD en Corée du Sud, Pathé’O a présenté un défilé pour montrer un peu ce que l’Afrique sait faire en matière de vêtements. « L’Afrique est beaucoup avancée en matière de mode. Ce que nous faisons est à un niveau acceptable. Maintenant, il ne faudrait pas dormir sur nos lauriers. On doit travailler plus pour que notre marque évolue pour atteindre beaucoup de pays africains. Car l’Afrique reste quand même une grande consommatrice de mode venant d’ailleurs », remarque l’habilleur de Mandela.
O.K.
Et bien, pour faire le déplacement asiatique, Pathé’O n’a pas fait dans la dentelle. Il a sorti un ensemble de tenues hommes et dames réalisées dans du pagne tissé notamment le Faso Dan Fani, le voile teinté ou le lin associé au pagne. Ce qui a surtout captivé l’attention des spectateurs, ce sont les lignes fluides des habits mises en exergue par des couleurs assez vives. « Ça a été vraiment une expérience très enrichissante. Il y a une grande différence entre l’Afrique et la Corée du Sud mais la mode n’a pas de frontière. C’est ainsi que les gens ont apprécié ce que nous avons proposé. La mode parle. Elle est toute seule un message. Alors, en présentant nos créations, on est tout de suite entré dans le cœur des Coréens, des invités et des fonctionnaires de la Bad », soutient Pathé’O.
Cela faisait la 2è année consécutive que Pathé’O participait aux Assemblées annuelles de la BAD. L’an dernier, c’était à Ahmedabad en Inde comme panéliste pour parler de l’industrialisation de la mode africaine. Pendant cette réunion 2018 de la BAD en Corée du Sud, Pathé’O a présenté un défilé pour montrer un peu ce que l’Afrique sait faire en matière de vêtements. « L’Afrique est beaucoup avancée en matière de mode. Ce que nous faisons est à un niveau acceptable. Maintenant, il ne faudrait pas dormir sur nos lauriers. On doit travailler plus pour que notre marque évolue pour atteindre beaucoup de pays africains. Car l’Afrique reste quand même une grande consommatrice de mode venant d’ailleurs », remarque l’habilleur de Mandela.
O.K.