Abidjan- Une soixantaine d’ONG et d’associations de la société civile ont échangé mardi sur les questions de sécurité et de réconciliation nationale avec le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité, et celle de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, Prof Mariatou Koné.
Cette rencontre tenue au cabinet du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité à Abidjan visait à favoriser un approfondissement des échanges et à palier à un déficit de communication qui, selon les organisations de la société civile (OSC), n’existe pas entre les deux parties.
A tour de rôle, les commissaires du Gouvernement ont mis en relief les axes majeurs déployés pour adresser ces questions, notamment la question de l’état-civil et de l’identification, celle des enfants en conflit avec la loi appelés « microbes », celles de l’identification et de l’indemnisation des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire, des exilés ainsi que de la réconciliation nationale.
Selon Sidiki Diakité, le phénomène des enfants en conflit avec la loi, a fortement reculé. « Des actions vigoureuses ont été engagées et ont donné des résultats probants », a-t-il relevé.
Le ministre de la Sécurité a expliqué que 774 enfants en conflit avec la loi ont bénéficié d’un programme de resocialisation qui a permis la récupération de 72% d’entre eux. « Le Gouvernement reste disponible et ne ménagera aucun effort pour apporter aux populations la paix, la sécurité et le développement », a-t-il assuré. Il a invité les OSC, dans un esprit partenarial, à s’approprier les acquis du Gouvernement observés dans différents secteurs d’activité afin de faire prévaloir, de manière consensuelle, leur bien-fondé au service de la Côte d’Ivoire.
Pour la ministre Mariatou Koné, les actions impulsées par le Gouvernement ont permis de ramener la paix dans le pays. Elle a invité la société civile à demeurer dans la dynamique de l’émergence de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020.
Cette rencontre avec les acteurs de la société civile, après celle du mois d’avril, marque la volonté du Gouvernement de communiquer, de débattre et d’échanger pour répondre aux préoccupations de développement des populations en donnant « les grandes orientations » de sa politique.
gak/cmas
Cette rencontre tenue au cabinet du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité à Abidjan visait à favoriser un approfondissement des échanges et à palier à un déficit de communication qui, selon les organisations de la société civile (OSC), n’existe pas entre les deux parties.
A tour de rôle, les commissaires du Gouvernement ont mis en relief les axes majeurs déployés pour adresser ces questions, notamment la question de l’état-civil et de l’identification, celle des enfants en conflit avec la loi appelés « microbes », celles de l’identification et de l’indemnisation des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire, des exilés ainsi que de la réconciliation nationale.
Selon Sidiki Diakité, le phénomène des enfants en conflit avec la loi, a fortement reculé. « Des actions vigoureuses ont été engagées et ont donné des résultats probants », a-t-il relevé.
Le ministre de la Sécurité a expliqué que 774 enfants en conflit avec la loi ont bénéficié d’un programme de resocialisation qui a permis la récupération de 72% d’entre eux. « Le Gouvernement reste disponible et ne ménagera aucun effort pour apporter aux populations la paix, la sécurité et le développement », a-t-il assuré. Il a invité les OSC, dans un esprit partenarial, à s’approprier les acquis du Gouvernement observés dans différents secteurs d’activité afin de faire prévaloir, de manière consensuelle, leur bien-fondé au service de la Côte d’Ivoire.
Pour la ministre Mariatou Koné, les actions impulsées par le Gouvernement ont permis de ramener la paix dans le pays. Elle a invité la société civile à demeurer dans la dynamique de l’émergence de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020.
Cette rencontre avec les acteurs de la société civile, après celle du mois d’avril, marque la volonté du Gouvernement de communiquer, de débattre et d’échanger pour répondre aux préoccupations de développement des populations en donnant « les grandes orientations » de sa politique.
gak/cmas