Songon - Le nouveau directeur général de la Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire (MUGEFCI), Brahima Traoré, a notamment pour mission de gérer la transition qui doit aboutir à la fin du mois de juin 2018, à la mise en œuvre d’un nouvel organigramme épousant toutes les recommandations de l’audit organisationnel, a expliqué jeudi, le président du Conseil d’administration, Mesmin Komoé.
Lors d’une conférence de presse, animée à Abidjan, suite à la tenue d’une assemblée générale mixte, Mesmin Komoé a rappelé que « Brahima Traoré est un expert de l’UEMOA en mutuelle sociale, alors il connait assez bien la MUGEFCI »
S’agissant des causes du limogeage de l’ancien directeur général, il a indiqué qu’il est consécutif à la dégradation des résultats techniques et financiers de la mutuelle de 2012 à 2017 d’une part, et à une faiblesse criante dans le management organisationnel ayant entraîné un climat délétère et démotivant à la MUGEFCI, d’autre part.
Le PCA a, en outre, révélé que pendant que la MUGEFCI cumule des déficits et que le conseil d’administration a baissé de façon drastique ses indemnités, le directeur général réclamait une augmentation de son traitement rétroactif avec rappel de 2013 à 2017.
Cette décision du conseil d’administration de la MUGEFCI, élu pour la mandature 2017-2021, vise à engager cette mutuelle sur la voie de la modernité afin de rendre plus confortable l’accès des mutualistes aux prestations et de lutter contre la fraude, selon son président Mesmin Komoé.
tg/kg/fmo
Lors d’une conférence de presse, animée à Abidjan, suite à la tenue d’une assemblée générale mixte, Mesmin Komoé a rappelé que « Brahima Traoré est un expert de l’UEMOA en mutuelle sociale, alors il connait assez bien la MUGEFCI »
S’agissant des causes du limogeage de l’ancien directeur général, il a indiqué qu’il est consécutif à la dégradation des résultats techniques et financiers de la mutuelle de 2012 à 2017 d’une part, et à une faiblesse criante dans le management organisationnel ayant entraîné un climat délétère et démotivant à la MUGEFCI, d’autre part.
Le PCA a, en outre, révélé que pendant que la MUGEFCI cumule des déficits et que le conseil d’administration a baissé de façon drastique ses indemnités, le directeur général réclamait une augmentation de son traitement rétroactif avec rappel de 2013 à 2017.
Cette décision du conseil d’administration de la MUGEFCI, élu pour la mandature 2017-2021, vise à engager cette mutuelle sur la voie de la modernité afin de rendre plus confortable l’accès des mutualistes aux prestations et de lutter contre la fraude, selon son président Mesmin Komoé.
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