La deuxième édition du Forum international du logement social économique et standing (ç) aura lieu les 25, 26 et 27 juin 2018 à Abidjan. En prélude à ce grand rendez-vous, le président de la Chambre nationale des promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d’Ivoire (Cnpc-Ci), Siriki Sangaré situe les enjeux dans une interview accordée à la rédaction d’abidjan.net.
Siriki Sangaré a souhaité faire le bilan de la précédente édition avant d’aborder la question de l’organisation pratique de la 2e édition. Les recommandations formulées par le FILOSES, lors de la 1ère édition, ont eu un écho favorable auprès du gouvernement. Pour lui, elles ont été prises en compte par le gouvernement pour améliorer la situation et accélérer le processus pour les promoteurs immobiliers. "Nous avons commencé ce forum suite à un constat: celui du déficit en logement non seulement en Côte d’Ivoire mais aussi en Afrique", a déclaré Siriki Sangaré. Poursuivant, Il dit qu’il s’agit surtout de pérenniser ce cadre de rencontres entre les professionnels du secteur et des gouvernants pour coordonner leurs efforts.
Sur la question du thème retenu pour cette année, Siriki Sangaré a fait savoir que les problèmes rencontrés en Côte d’Ivoire en matière de logement est le même partout en Afrique. Le président du comité d’organisation a donc jugé important de convier toute l’Afrique à réfléchir sur la problématique: "Relever les défis du logement en Afrique". Il n’a pas manqué de préciser que les difficultés se situent a tous les niveaux de la chaîne. Ce sont fondamentalement aussi bien sur le plan de la fiscalité, du financement que du foncier. Durant le forum, les experts qui viendront du monde entier proposeront des solutions idoines telles que des nouveaux mécanismes du financement.
Il convient de souligner qu’en Afrique, le taux de bancarisation ne dépasse pas les 15%. Siriki Sangaré a déploré ce fait puisqu’il s’agit là d’un véritable obstacle pour des milliers de familles qui ne peuvent pas accéder à un prêt pour s’offrir une maison.. "Notre combat c’est de loger tout le monde en mettant en place un mécanisme de bail ou de location vente pour permettre au locataire de payer la maison sur 25 ans avec un taux de crédit autour de 5%", a dit Siriki Sangaré, confiant.
DA
Siriki Sangaré a souhaité faire le bilan de la précédente édition avant d’aborder la question de l’organisation pratique de la 2e édition. Les recommandations formulées par le FILOSES, lors de la 1ère édition, ont eu un écho favorable auprès du gouvernement. Pour lui, elles ont été prises en compte par le gouvernement pour améliorer la situation et accélérer le processus pour les promoteurs immobiliers. "Nous avons commencé ce forum suite à un constat: celui du déficit en logement non seulement en Côte d’Ivoire mais aussi en Afrique", a déclaré Siriki Sangaré. Poursuivant, Il dit qu’il s’agit surtout de pérenniser ce cadre de rencontres entre les professionnels du secteur et des gouvernants pour coordonner leurs efforts.
Sur la question du thème retenu pour cette année, Siriki Sangaré a fait savoir que les problèmes rencontrés en Côte d’Ivoire en matière de logement est le même partout en Afrique. Le président du comité d’organisation a donc jugé important de convier toute l’Afrique à réfléchir sur la problématique: "Relever les défis du logement en Afrique". Il n’a pas manqué de préciser que les difficultés se situent a tous les niveaux de la chaîne. Ce sont fondamentalement aussi bien sur le plan de la fiscalité, du financement que du foncier. Durant le forum, les experts qui viendront du monde entier proposeront des solutions idoines telles que des nouveaux mécanismes du financement.
Il convient de souligner qu’en Afrique, le taux de bancarisation ne dépasse pas les 15%. Siriki Sangaré a déploré ce fait puisqu’il s’agit là d’un véritable obstacle pour des milliers de familles qui ne peuvent pas accéder à un prêt pour s’offrir une maison.. "Notre combat c’est de loger tout le monde en mettant en place un mécanisme de bail ou de location vente pour permettre au locataire de payer la maison sur 25 ans avec un taux de crédit autour de 5%", a dit Siriki Sangaré, confiant.
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