Après les travaux de restitution et de vulgarisation du Plan stratégique de l’intégration régionale (PSI 2018-2022) du jeudi 7 juin dernier, à Abidjan, la Direction générale de l’intégration africaine (DGIA) a entamé le chapitre de la finalisation du plan opérationnel de la stratégie de l’intégration régionale, au cours d’un atelier qui s’est déroulé ce mardi 12 juin 2018, à la Maison de l’Entreprise d’Abidjan (Plateau).
Cet atelier de finalisation du plan opérationnel de la stratégie de l’intégration régionale est le résultat d’un long processus qui a débuté en 2016, sous l’impulsion du ministre de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, M. Ally Coulibaly, ayant décidé de doter la Côte d’Ivoire d’une vision du développement de l’intégration régionale.
Ce Plan stratégique de l’intégration (PSI), fruit d’un processus de réflexion inclusif qui implique l’administration publique, la société civile, et le secteur privé, repose sur trois piliers : l’organisation de la gouvernance nationale en matière d’intégration africaine ; le renforcement du rôle de la Côte d’Ivoire en matière de politique d’intégration africaine et de coopération régionale ; la contribution de l’intégration africaine au développement économique et social durable de le Côte d’Ivoire.
Selon M. Wautabouna Ouattara, Directeur Général de l’Intégration Africaine, il faut aider la Côte d’Ivoire à se doter d’une vision à moyen et long terme afin de renforcer ses liens d’intégration sous régionale.
Après avoir conçu le PSI, il a été donc important pour les membres de la DGIA de travailler à l’élaboration d’un plan opérationnel de la stratégie. C’est une déclinaison des actions qui seront implémentées au fur et à mesure de la mise en œuvre du PSI. C’est l’objet de cet atelier : valider le plan opérationnel de la stratégie.
« On verra par exemple, lorsqu’on dit de renforcer les infrastructures, de façon concrète, qu’est-ce qu’on fait ? Par quoi commencer ? Quelles sont les infrastructures qui existaient déjà ? » Pour le DGIA, Wautabouna Ouattara, la réponse à toutes ces questions est liée à l’idée de consolider les liens d’intégration socioéconomique entre la Côte d’Ivoire et les pays limitrophes.
Notons que, dans le cadre de la réalisation des objectifs prioritaires de développement pour l’émergence de la Côte d’Ivoire, le Gouvernement a inscrit « le renforcement de l’intégration régionale et de la coopération internationale » dans les cinq axes majeurs des orientations stratégiques de son Plan national de développement (PND 2016-2020).
JOB
Cet atelier de finalisation du plan opérationnel de la stratégie de l’intégration régionale est le résultat d’un long processus qui a débuté en 2016, sous l’impulsion du ministre de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, M. Ally Coulibaly, ayant décidé de doter la Côte d’Ivoire d’une vision du développement de l’intégration régionale.
Ce Plan stratégique de l’intégration (PSI), fruit d’un processus de réflexion inclusif qui implique l’administration publique, la société civile, et le secteur privé, repose sur trois piliers : l’organisation de la gouvernance nationale en matière d’intégration africaine ; le renforcement du rôle de la Côte d’Ivoire en matière de politique d’intégration africaine et de coopération régionale ; la contribution de l’intégration africaine au développement économique et social durable de le Côte d’Ivoire.
Selon M. Wautabouna Ouattara, Directeur Général de l’Intégration Africaine, il faut aider la Côte d’Ivoire à se doter d’une vision à moyen et long terme afin de renforcer ses liens d’intégration sous régionale.
Après avoir conçu le PSI, il a été donc important pour les membres de la DGIA de travailler à l’élaboration d’un plan opérationnel de la stratégie. C’est une déclinaison des actions qui seront implémentées au fur et à mesure de la mise en œuvre du PSI. C’est l’objet de cet atelier : valider le plan opérationnel de la stratégie.
« On verra par exemple, lorsqu’on dit de renforcer les infrastructures, de façon concrète, qu’est-ce qu’on fait ? Par quoi commencer ? Quelles sont les infrastructures qui existaient déjà ? » Pour le DGIA, Wautabouna Ouattara, la réponse à toutes ces questions est liée à l’idée de consolider les liens d’intégration socioéconomique entre la Côte d’Ivoire et les pays limitrophes.
Notons que, dans le cadre de la réalisation des objectifs prioritaires de développement pour l’émergence de la Côte d’Ivoire, le Gouvernement a inscrit « le renforcement de l’intégration régionale et de la coopération internationale » dans les cinq axes majeurs des orientations stratégiques de son Plan national de développement (PND 2016-2020).
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