Le 17e comité communal de lutte contre le racket (CCLR) est à Yopougon. Il a été installé ce mercredi par le ministre de l’intérieur et de la sécurité, Sidiki Diakité qui a invité les 25 membres à travailler avec abnégation pour des résultats concrets.
« Il s’agit d’une réforme majeure, d’une opportunité qui va permettre d’assurer le volet de l’action gouvernementale au plan local (...) Notre pays est sur le bon chemin du point de vue de la bonne gouvernance et doit continuer sur cette lancée. Nous devons tous nous engager dans cette lutte », a-t-il recommandé à l’équipe menée par le maire de la commune Gilbert Koné Kafana.
Il a également précisé que le Gouvernement et son département se sont résolument engagés à travers plusieurs autres réformes liées à la bonne gouvernance afin de lutter efficacement contre la pauvreté. "Lutter contre le racket, c’est lutter contre la pauvreté" dira-t-il.
Commencer par la sensibilisation pour informer les populations de leur existence, bien se former à travers plusieurs séances pour qu’ils soient suffisamment outillés, créer un espace d’échanges et de concertation pour une responsabilisation des citoyens vis à vis des outils de la bonne gouvernance, tels sont les conseils qu’il a prodigués aux membres du comité.
Le ministre a aussi soutenu qu’il appartient à chaque Ivoirien d’avoir à l’esprit la notion d’Ivoirien Nouveau : « La Côte d’Ivoire a intérêt à cela aujourd’hui, il nous faut travailler à la consolidation de nos acquis. Si nous nous engageons collectivement, nous allons l’être collectivement », a-t-il conseillé.
Pour le président du CCLR de Yopougon, Gilbert Koné Kafana, le grand défi du racket demeure le changement de mentalité des agents du service public. Il a invité ses collègues maires à œuvrer davantage pour le bannissement de cette gangrène.
Le commandant de l’Unité de lutte contre le racket (ULCR), le commissaire Alain Oura, a salué le travail abattu par ses éléments, au regard des résultats obtenus depuis son existence avant de souligner qu’il faut absolument combattre l’ignorance des populations et des opérateurs économiques.
P. R.
« Il s’agit d’une réforme majeure, d’une opportunité qui va permettre d’assurer le volet de l’action gouvernementale au plan local (...) Notre pays est sur le bon chemin du point de vue de la bonne gouvernance et doit continuer sur cette lancée. Nous devons tous nous engager dans cette lutte », a-t-il recommandé à l’équipe menée par le maire de la commune Gilbert Koné Kafana.
Il a également précisé que le Gouvernement et son département se sont résolument engagés à travers plusieurs autres réformes liées à la bonne gouvernance afin de lutter efficacement contre la pauvreté. "Lutter contre le racket, c’est lutter contre la pauvreté" dira-t-il.
Commencer par la sensibilisation pour informer les populations de leur existence, bien se former à travers plusieurs séances pour qu’ils soient suffisamment outillés, créer un espace d’échanges et de concertation pour une responsabilisation des citoyens vis à vis des outils de la bonne gouvernance, tels sont les conseils qu’il a prodigués aux membres du comité.
Le ministre a aussi soutenu qu’il appartient à chaque Ivoirien d’avoir à l’esprit la notion d’Ivoirien Nouveau : « La Côte d’Ivoire a intérêt à cela aujourd’hui, il nous faut travailler à la consolidation de nos acquis. Si nous nous engageons collectivement, nous allons l’être collectivement », a-t-il conseillé.
Pour le président du CCLR de Yopougon, Gilbert Koné Kafana, le grand défi du racket demeure le changement de mentalité des agents du service public. Il a invité ses collègues maires à œuvrer davantage pour le bannissement de cette gangrène.
Le commandant de l’Unité de lutte contre le racket (ULCR), le commissaire Alain Oura, a salué le travail abattu par ses éléments, au regard des résultats obtenus depuis son existence avant de souligner qu’il faut absolument combattre l’ignorance des populations et des opérateurs économiques.
P. R.