Les évêques de Côte d’ivoire veulent positionner l’enseignement catholique comme le pilier de l’éducation nationale. Il s’agit pour eux d’accompagner l’état dans la poursuite de ses objectifs éducatifs.
Pour ce faire, une réforme de l’enseignement catholique a été lancée pour mieux l’adapter aux nouvelles réalités. La première phase de cette réforme a été confiée à un comité de pilotage.
Ce comité de quatre groupes a travaillé à faire des propositions sur ce projet de réforme. Les résultats de leur travaux ont été restitués ce samedi 17 juin au cours d’une cérémonie qui s`est tenue à l’auditorium du centre culturel de la cathédrale du plateau.
Ces propositions portaient entre autres sur l’organisation ‘’des journées nationales de l’éducation catholique’’, une lucarne pour réfléchir sur la pérennité de l’éducation catholique à travers des panels et donner des récompenses aux meilleurs acteurs de l’enseignement catholique.
Quand l’éthique morale de nos sociétés menace de s’écrouler, quel système éducatif pour quel citoyen ? S’interrogait Hassan Sarr, représentant du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.
Pour lui l’enseignement catholique peut et doit apporter une réponse plus efficace car plongeant ses racines dans les valeurs spirituelles, elle serre le fruit de la responsabilité et l’intégralité. Il a au nom du Ministre Kandia Camara, salué cette initiative de réforme pour une convergence d’effort.
Cette rencontre organisée par le secrétariat exécutif de l’éducation catholique, a réuni plusieurs autorités de la grande chancellerie, de plusieurs ministères et des autorités catholiques chapeauté par Monseigneur Gaspard Beby Gneba, président de la commission épiscopale pour l’enseignement catholique.
Il a garanti au ministre de l’éducation nationale que l’enseignement catholique va jouer pleinement jouer le rôle qui lui est dévoué. C’est-à-dire garantir une éducation à tous et dans toutes ses dimensions : tête, cœur et membre. Cela s’inscrit dans la vision du saint père François et des évêques de Côte d’ivoire.
Il a aussi remercié la ministre pour son implication à l’apurement de la dette à l’égard du fonctionnement de l’enseignement catholique. Des diplômes de participations ont été remis aux membres du comité et aux personnalités présentes. Il s’en Est suivi une messe de clôture.
Atapointe
Pour ce faire, une réforme de l’enseignement catholique a été lancée pour mieux l’adapter aux nouvelles réalités. La première phase de cette réforme a été confiée à un comité de pilotage.
Ce comité de quatre groupes a travaillé à faire des propositions sur ce projet de réforme. Les résultats de leur travaux ont été restitués ce samedi 17 juin au cours d’une cérémonie qui s`est tenue à l’auditorium du centre culturel de la cathédrale du plateau.
Ces propositions portaient entre autres sur l’organisation ‘’des journées nationales de l’éducation catholique’’, une lucarne pour réfléchir sur la pérennité de l’éducation catholique à travers des panels et donner des récompenses aux meilleurs acteurs de l’enseignement catholique.
Quand l’éthique morale de nos sociétés menace de s’écrouler, quel système éducatif pour quel citoyen ? S’interrogait Hassan Sarr, représentant du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.
Pour lui l’enseignement catholique peut et doit apporter une réponse plus efficace car plongeant ses racines dans les valeurs spirituelles, elle serre le fruit de la responsabilité et l’intégralité. Il a au nom du Ministre Kandia Camara, salué cette initiative de réforme pour une convergence d’effort.
Cette rencontre organisée par le secrétariat exécutif de l’éducation catholique, a réuni plusieurs autorités de la grande chancellerie, de plusieurs ministères et des autorités catholiques chapeauté par Monseigneur Gaspard Beby Gneba, président de la commission épiscopale pour l’enseignement catholique.
Il a garanti au ministre de l’éducation nationale que l’enseignement catholique va jouer pleinement jouer le rôle qui lui est dévoué. C’est-à-dire garantir une éducation à tous et dans toutes ses dimensions : tête, cœur et membre. Cela s’inscrit dans la vision du saint père François et des évêques de Côte d’ivoire.
Il a aussi remercié la ministre pour son implication à l’apurement de la dette à l’égard du fonctionnement de l’enseignement catholique. Des diplômes de participations ont été remis aux membres du comité et aux personnalités présentes. Il s’en Est suivi une messe de clôture.
Atapointe