Agnibilékrou - La campagne d'assainissement du marché du médicament vétérinaire a été lancée par le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Adjoumani, à esplanade de la sous-préfecture d’Agnibilékrou (Est, région de l'Indénié-Djuablin).
L'usage de médicaments de mauvaise qualité présente d'énormes dangers aussi bien pour les acteurs eux-mêmes, les consommateurs que pour le pays tout entier, a expliqué Kobenan Adjoumani, jeudi, lors de ce lancement.
Selon le ministre des Ressources animales et halieutiques, l'absence de pâturage artificiel permanent et la présence des maladies animales notamment les zoonoses constituent des obstacles au développement de l'élevage ivoirien, d'où la nécessité d'assainir le marché du médicament vétérinaire qui a absolument une répercussion sur la santé humaine.
"En dépit de ses difficultés, le secteur (de l’élevage) contribue à hauteur de 4.5% au PIB national et emploie près de 360.000 personnes", a-t-il relevé.
Pour lui, l'élevage occupe de plus en plus une place de choix dans la croissance économique de notre pays et aide durablement à la lutte contre la pauvreté.
M. Adjoumani a aussi indiqué le taux de couverture par la production nationale du secteur de la consommation s'accroissait d'année en année. " En 2015, elle (la consommation) est passée à 18% pour le lait et les produits laitiers, à 59% pour les viandes et se maintient à 100% pour les œufs", a-t-il précisé.
jcl/kkf/fmo
L'usage de médicaments de mauvaise qualité présente d'énormes dangers aussi bien pour les acteurs eux-mêmes, les consommateurs que pour le pays tout entier, a expliqué Kobenan Adjoumani, jeudi, lors de ce lancement.
Selon le ministre des Ressources animales et halieutiques, l'absence de pâturage artificiel permanent et la présence des maladies animales notamment les zoonoses constituent des obstacles au développement de l'élevage ivoirien, d'où la nécessité d'assainir le marché du médicament vétérinaire qui a absolument une répercussion sur la santé humaine.
"En dépit de ses difficultés, le secteur (de l’élevage) contribue à hauteur de 4.5% au PIB national et emploie près de 360.000 personnes", a-t-il relevé.
Pour lui, l'élevage occupe de plus en plus une place de choix dans la croissance économique de notre pays et aide durablement à la lutte contre la pauvreté.
M. Adjoumani a aussi indiqué le taux de couverture par la production nationale du secteur de la consommation s'accroissait d'année en année. " En 2015, elle (la consommation) est passée à 18% pour le lait et les produits laitiers, à 59% pour les viandes et se maintient à 100% pour les œufs", a-t-il précisé.
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