Abidjan, 26 juin (AIP) - L’Organisation internationale du sucre (OIS) est réunie de mardi à jeudi à Addis-Abeba, en Ethiopie, à l’occasion de la 53ème session du Conseil, en présence de plusieurs pays dont la Côte d’Ivoire.
Cette session est présidée par Endaweke Abite Degefu, directeur général de Ethiopian Sugar Corporation, rapporte un communiqué de presse transmis à l’AIP par le représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des organisations de produits de base à Londres, Aly Touré.
L’OIS est un organisme intergouvernemental créé en 1968, pour administrer les différents Accords internationaux sur le sucre dont le dernier en date est l’Accord international de 1992. Son rôle est de promouvoir le commerce et la consommation du sucre, de suivre l’évolution du marché sucrier mondial et d’encadrer les politiques sucrières nationales.
Basée à Londres, l'OIS compte 89 Etats membres qui représentent 87% de la production mondiale de sucre, 68% de la consommation mondiale de sucre, 92% des exportations mondiales et 40% des importations mondiales.
La Côte d’Ivoire participe de façon active aux réunions de l’OIS dont elle est membre depuis le 23 mars 1993. C’est ainsi qu’elle siège au sein du Comité administratif de l’Organisation depuis 2016, à travers la personne d’Aly Touré.
Le Comité administratif est l’organe consultatif du Conseil qui lui fait des recommandations sur les questions financières et administratives de l’OIS.
La 53ème session du Conseil va statuer, en particulier, sur la question importante de la révision ou non de l’Accord international sur le sucre de 1992. En effet, malgré la réticence de la majorité des membres, certains membres dont l’Union Européenne pèsent de tout leur poids pour que cet Accord puisse faire l’objet de modifications pour le rendre plus moderne.
En outre, cette session sera enrichie par un Atelier international consacré au « Développement du sucre éthiopien – un moyen de transformation structurelle ».
Ainsi, la Côte d’Ivoire visant l’augmentation de sa production en sucre pour être autosuffisante, sa participation à ces assises devrait lui permettre de profiter des expériences réussies de développement durable du secteur sucrier des autres membres, ainsi que des opportunités de coopération offertes et facilitées par l’OIS.
(AIP)
cmas
Cette session est présidée par Endaweke Abite Degefu, directeur général de Ethiopian Sugar Corporation, rapporte un communiqué de presse transmis à l’AIP par le représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des organisations de produits de base à Londres, Aly Touré.
L’OIS est un organisme intergouvernemental créé en 1968, pour administrer les différents Accords internationaux sur le sucre dont le dernier en date est l’Accord international de 1992. Son rôle est de promouvoir le commerce et la consommation du sucre, de suivre l’évolution du marché sucrier mondial et d’encadrer les politiques sucrières nationales.
Basée à Londres, l'OIS compte 89 Etats membres qui représentent 87% de la production mondiale de sucre, 68% de la consommation mondiale de sucre, 92% des exportations mondiales et 40% des importations mondiales.
La Côte d’Ivoire participe de façon active aux réunions de l’OIS dont elle est membre depuis le 23 mars 1993. C’est ainsi qu’elle siège au sein du Comité administratif de l’Organisation depuis 2016, à travers la personne d’Aly Touré.
Le Comité administratif est l’organe consultatif du Conseil qui lui fait des recommandations sur les questions financières et administratives de l’OIS.
La 53ème session du Conseil va statuer, en particulier, sur la question importante de la révision ou non de l’Accord international sur le sucre de 1992. En effet, malgré la réticence de la majorité des membres, certains membres dont l’Union Européenne pèsent de tout leur poids pour que cet Accord puisse faire l’objet de modifications pour le rendre plus moderne.
En outre, cette session sera enrichie par un Atelier international consacré au « Développement du sucre éthiopien – un moyen de transformation structurelle ».
Ainsi, la Côte d’Ivoire visant l’augmentation de sa production en sucre pour être autosuffisante, sa participation à ces assises devrait lui permettre de profiter des expériences réussies de développement durable du secteur sucrier des autres membres, ainsi que des opportunités de coopération offertes et facilitées par l’OIS.
(AIP)
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