Songon, 26 juin (AIP)- Le directeur départemental du district sanitaire de Jacqueville, Simplice Béda, a procédé mardi, dans un hôtel de ladite localité, à l'ouverture de l'atelier de renforcement des sages-femmes de la région sanitaire d'Abidjan 2 sur l'éthique et de la déontologie de la profession.
"Le but de cet atelier est d'organiser les sages femmes afin de mieux contrôler l'exercice de la profession. Chères sages femmes, en vous inscrivant dans cette dynamique, vous avez pour soucis de donner à la population des prestations de qualité basées sur l'éthique et la déontologie", a expliqué le directeur départemental du district sanitaire de Jacqueville, Simplice Béda.
Le sous-directeur des soins infirmiers et maternels, Nestor Kan Kouakou s'est réjoui de cette initiative parce que, selon lui, il est démontré que les sages femmes, de par leur capacité, "lorsqu'elles sont bien formées et soutenues, peuvent délivrer 87% des interventions essentielles les pour la santé maternelle et néonatale".
Remerciant les responsables du ministère de la santé et de l'hygiène publique et l'UNFPA pour leur appui financier, la présidente de l'ordre du conseil national des sages femmes de Côte d’Ivoire, Bamba Epse Mahoua Tiemoko, pour sa part, a rappelé que la profession de la sage femme existe dans notre pays depuis 1925 et depuis cette époque, "elle a toujours été évaluée à travers la profession médicale qui est totalement différente de la notre".
Auparavant, Mme Tiémoko a salué la création de la loi n 2014-133 du 24 mars 2014 qui a permis de regrouper l'ensemble des praticiens concernés dans l'ordre des sages femmes et maïeuticiennes de Côte d’Ivoire à travers son conseil tout en indiquant que ce conseil est un "véritable défi pour orienter, guider et consolider leur profession".
(AIP)
tg/fmo
"Le but de cet atelier est d'organiser les sages femmes afin de mieux contrôler l'exercice de la profession. Chères sages femmes, en vous inscrivant dans cette dynamique, vous avez pour soucis de donner à la population des prestations de qualité basées sur l'éthique et la déontologie", a expliqué le directeur départemental du district sanitaire de Jacqueville, Simplice Béda.
Le sous-directeur des soins infirmiers et maternels, Nestor Kan Kouakou s'est réjoui de cette initiative parce que, selon lui, il est démontré que les sages femmes, de par leur capacité, "lorsqu'elles sont bien formées et soutenues, peuvent délivrer 87% des interventions essentielles les pour la santé maternelle et néonatale".
Remerciant les responsables du ministère de la santé et de l'hygiène publique et l'UNFPA pour leur appui financier, la présidente de l'ordre du conseil national des sages femmes de Côte d’Ivoire, Bamba Epse Mahoua Tiemoko, pour sa part, a rappelé que la profession de la sage femme existe dans notre pays depuis 1925 et depuis cette époque, "elle a toujours été évaluée à travers la profession médicale qui est totalement différente de la notre".
Auparavant, Mme Tiémoko a salué la création de la loi n 2014-133 du 24 mars 2014 qui a permis de regrouper l'ensemble des praticiens concernés dans l'ordre des sages femmes et maïeuticiennes de Côte d’Ivoire à travers son conseil tout en indiquant que ce conseil est un "véritable défi pour orienter, guider et consolider leur profession".
(AIP)
tg/fmo