Abidjan – Des experts en santé ont recommandé, mercredi, au Centre suisse de recherches scientifiques (CSRS) sis à Adiopodoumé, Yopougon Km 17, la pratique d’une alimentation diversifiée pour lutter contre les Maladies non transmissibles (MNT), à l’occasion d’un « atelier de réflexion sur la transition nutritionnelle et santé en Afrique subsaharienne ».
Ces recommandations ont porté essentiellement sur la consommation des produits locaux naturels. L’accent a été essentiellement mis sur l’alternance des féculents (riz, igname, pomme de terre), protides (viande, poisson), fruits et légumes, avec les feuilles riches en fer, donc stimulent l’hémoglobine (épinard, baobab), les amandes (akpi, anti-cholestérol).
Les panelistes dont la nutritionniste, Dr Chantal Gauze Gnagne, et le biochimiste, Dr Charlemagne Nindjin (Université Nangui Abrogoua), ont soutenu que ces dispositions, combinées avec les activités physiques régulières, aident à lutter contre les MNT, spécialement le diabète, l’hypertension, les cancers, favorisés par une alimentation trop riche en sucre, sel, matières grasses.
La responsable du groupe de recherche en nutrition du CSRS, Dr Georgette Konan Amoin, a fait savoir que ces mesures diététiques seront transmises à la direction, en vue des suggestions aux autorités. Elles constituent une boussole face à la transition nutritionnelle, changement des habitudes alimentaires lié à notre style de vie dicté par le développement économique et social, a-t-elle ajouté.
Cet atelier, auquel ont pris d’autres spécialistes, a porté sur diverses thématiques. Il a été question entre autres de l’« analyse situationnelle de la nutrition en milieu rural et urbain », l’ « identification des facteurs de risques », des « pratiques alimentaires et risques nutritionnels ».
(AIP)
ra/tm
Ces recommandations ont porté essentiellement sur la consommation des produits locaux naturels. L’accent a été essentiellement mis sur l’alternance des féculents (riz, igname, pomme de terre), protides (viande, poisson), fruits et légumes, avec les feuilles riches en fer, donc stimulent l’hémoglobine (épinard, baobab), les amandes (akpi, anti-cholestérol).
Les panelistes dont la nutritionniste, Dr Chantal Gauze Gnagne, et le biochimiste, Dr Charlemagne Nindjin (Université Nangui Abrogoua), ont soutenu que ces dispositions, combinées avec les activités physiques régulières, aident à lutter contre les MNT, spécialement le diabète, l’hypertension, les cancers, favorisés par une alimentation trop riche en sucre, sel, matières grasses.
La responsable du groupe de recherche en nutrition du CSRS, Dr Georgette Konan Amoin, a fait savoir que ces mesures diététiques seront transmises à la direction, en vue des suggestions aux autorités. Elles constituent une boussole face à la transition nutritionnelle, changement des habitudes alimentaires lié à notre style de vie dicté par le développement économique et social, a-t-elle ajouté.
Cet atelier, auquel ont pris d’autres spécialistes, a porté sur diverses thématiques. Il a été question entre autres de l’« analyse situationnelle de la nutrition en milieu rural et urbain », l’ « identification des facteurs de risques », des « pratiques alimentaires et risques nutritionnels ».
(AIP)
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