Abidjan- La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bakayoko-Ly Ramata, s’est enquise, vendredi, de l’état de fonctionnement du Centre national de calcul de Côte d’Ivoire (CNC-CI), à travers une visite sur le site au pôle scientifique et d’innovation de l’université Félix Houphouët-Boigny de Bingerville, avec les partenaires français du projet.
Ce centre est doté d’un supercalculateur d’une puissance de 322 Teraflops, soit 322 000 milliards d’opérations par seconde, d’un groupe électrogène d’une puissance de 440 KVA et d’une unité de refroidissement de production d’eau glacée de 245 KFW.
La ministre Bakayoko-Ly Ramata s’est réjouie du supercalculateur du CNC-CI, qui, grâce à la modélisation et à la simulation de phénomènes complexes, rendra un grand nombre de services à forte valeur ajoutée dans de nombreux domaines scientifiques notamment la climatologie, la météorologie, l’agriculture, les études environnementales et minières, la santé, la chimie, la physique, la cyber criminalité, entre autres.
Elle a ajouté que les entreprises innovantes pourront également mettre à contribution ce centre pour accélérer leur processus de développement et améliorer leur compétitivité.
A travers ce projet, le ministère entend consolider les compétences scientifiques et faciliter l’accès aux technologies de l’information et expertises indissociables de toute démarche supposant une politique ambitieuse en termes d’innovation et de recherche et doter la recherche académique de moyens permettant de faciliter les travaux de recherche et les publications associées par la mise à disposition de moyens modernes.
Lors de la visite, la secrétaire d’État auprès du ministère de l’Economie et des Finances de la France, Delphine Geny-Stephann, a affirmé que les capacités de calcul et de simulation du CNC-CI seront uniques en Afrique et permettront des développements que l’on ne pouvait « ni prévoir, ni même imaginer en Côte d’Ivoire mais aussi dans la sous-région ».
« Avec cet outil national de recherche de classe internationale, tous les atouts sont réunis pour que la Côte d’Ivoire soit à la pointe de la recherche fondamentale et appliquée, lui permettant d’accroître et de promouvoir l’innovation, d’améliorer sa compétitivité et d’assoir sa souveraineté nationale en matière de recherche, contribuant aussi au développement de la coopération régionale et au rayonnement international du pays », a-t-elle souligné.
Son souhait est que le centre national de calcul devienne rapidement un catalyseur du partenariat et de coopération scientifique entre les universités et les centres de recherche de son pays et la Côte d’Ivoire.
aaa/fmo
Ce centre est doté d’un supercalculateur d’une puissance de 322 Teraflops, soit 322 000 milliards d’opérations par seconde, d’un groupe électrogène d’une puissance de 440 KVA et d’une unité de refroidissement de production d’eau glacée de 245 KFW.
La ministre Bakayoko-Ly Ramata s’est réjouie du supercalculateur du CNC-CI, qui, grâce à la modélisation et à la simulation de phénomènes complexes, rendra un grand nombre de services à forte valeur ajoutée dans de nombreux domaines scientifiques notamment la climatologie, la météorologie, l’agriculture, les études environnementales et minières, la santé, la chimie, la physique, la cyber criminalité, entre autres.
Elle a ajouté que les entreprises innovantes pourront également mettre à contribution ce centre pour accélérer leur processus de développement et améliorer leur compétitivité.
A travers ce projet, le ministère entend consolider les compétences scientifiques et faciliter l’accès aux technologies de l’information et expertises indissociables de toute démarche supposant une politique ambitieuse en termes d’innovation et de recherche et doter la recherche académique de moyens permettant de faciliter les travaux de recherche et les publications associées par la mise à disposition de moyens modernes.
Lors de la visite, la secrétaire d’État auprès du ministère de l’Economie et des Finances de la France, Delphine Geny-Stephann, a affirmé que les capacités de calcul et de simulation du CNC-CI seront uniques en Afrique et permettront des développements que l’on ne pouvait « ni prévoir, ni même imaginer en Côte d’Ivoire mais aussi dans la sous-région ».
« Avec cet outil national de recherche de classe internationale, tous les atouts sont réunis pour que la Côte d’Ivoire soit à la pointe de la recherche fondamentale et appliquée, lui permettant d’accroître et de promouvoir l’innovation, d’améliorer sa compétitivité et d’assoir sa souveraineté nationale en matière de recherche, contribuant aussi au développement de la coopération régionale et au rayonnement international du pays », a-t-elle souligné.
Son souhait est que le centre national de calcul devienne rapidement un catalyseur du partenariat et de coopération scientifique entre les universités et les centres de recherche de son pays et la Côte d’Ivoire.
aaa/fmo