Abidjan, 02 juil (AIP) - La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bakayoko-Ly Ramata, a tenu un point presse lundi à son cabinet pour le lancement de l’évaluation des établissements d’enseignement privés du supérieur.
Selon Mme Ly Ramata, la vision du Président Alassane Ouattara est de « développer un système d’enseignement supérieur et de recherche performant et compétitif en vue d’en faire un levier de l’émergence ».
Son ministère, sous l’autorité du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, a entrepris des réformes institutionnelles, structurelles et académiques pour améliorer la qualité de la formation, sa pertinence et la gouvernance des institutions d’enseignement supérieur et de recherche, afin d’assurer une meilleure insertion professionnelle des diplômés.
Elle dit avoir placé l’assurance qualité au cœur de sa gouvernance pour répondre à la problématique de la qualité de l’Enseignement supérieur.
Cet exercice qui court jusqu’au 13 juillet se fait sur la base d’une évaluation interne et externe, un processus qui devrait aboutir à des analyses, des résultats et des recommandations pour le développement des établissements supérieurs de recherche.
Prof Bakayoko-Ly Ramata a ajouté que les fiches de recueil de données de l’auto-évaluation et de l’évaluation externe ont été élaborées à partir du référentiel d’évaluation institutionnelle du CAMES révisé en 2018 par la direction générale de la Qualité des évaluations.
Selon la ministre, à la suite de l’auto-évaluation, des experts qualifiés et indépendants en collaboration avec le Centre régional d’évaluation, environnement, santé et accréditation en Afrique (CRESAC) évalueront la transparence et l’impartialité du processus pour que le ministère ne soit pas « juge et partie ».
L’innovation majeure concerne la visibilité des résultats à l’ensemble des acteurs des systèmes de l’enseignement. Vingt équipes déjà sur le terrain ont reçu depuis vendredi, leurs kits de travail.
(AIP)
aaa/cmas
Selon Mme Ly Ramata, la vision du Président Alassane Ouattara est de « développer un système d’enseignement supérieur et de recherche performant et compétitif en vue d’en faire un levier de l’émergence ».
Son ministère, sous l’autorité du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, a entrepris des réformes institutionnelles, structurelles et académiques pour améliorer la qualité de la formation, sa pertinence et la gouvernance des institutions d’enseignement supérieur et de recherche, afin d’assurer une meilleure insertion professionnelle des diplômés.
Elle dit avoir placé l’assurance qualité au cœur de sa gouvernance pour répondre à la problématique de la qualité de l’Enseignement supérieur.
Cet exercice qui court jusqu’au 13 juillet se fait sur la base d’une évaluation interne et externe, un processus qui devrait aboutir à des analyses, des résultats et des recommandations pour le développement des établissements supérieurs de recherche.
Prof Bakayoko-Ly Ramata a ajouté que les fiches de recueil de données de l’auto-évaluation et de l’évaluation externe ont été élaborées à partir du référentiel d’évaluation institutionnelle du CAMES révisé en 2018 par la direction générale de la Qualité des évaluations.
Selon la ministre, à la suite de l’auto-évaluation, des experts qualifiés et indépendants en collaboration avec le Centre régional d’évaluation, environnement, santé et accréditation en Afrique (CRESAC) évalueront la transparence et l’impartialité du processus pour que le ministère ne soit pas « juge et partie ».
L’innovation majeure concerne la visibilité des résultats à l’ensemble des acteurs des systèmes de l’enseignement. Vingt équipes déjà sur le terrain ont reçu depuis vendredi, leurs kits de travail.
(AIP)
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