Ce lundi 02 juillet, s’est tenue à Abidjan, la cérémonie de remise des résultats de l’étude diagnostique du secteur de la presse en Côte d’Ivoire.
En vue d’identifier les causes profondes des problèmes des médias observés en Côte d’Ivoire et surtout d’y trouver des solutions adéquates, l’UNESCO et l’ensemble du système des Nations Unies en collaboration avec les structures sous tutelle du ministère de la communication ont échangé leur savoir.
Cette étude a été subdivisée en deux parties. La première réalisée en juillet 2017 porte essentiellement sur la situation des médias toute presse confondue en Côte d’Ivoire. La seconde partie exécutée en octobre 2017 met en exergue les recommandations pertinentes et stratégies de renforcement des capacités pour la professionnalisation du secteur de la presse dans notre pays.
Dans un climat de transparence, Ado Yao, Directeur Général du bureau d’Abidjan de l’UNESCO se félicite de la mise sur pied de cette étude et affirme que les journalistes pourront rentrer en possession de ce document de plus de 400 pages : « Des exemplaires de cette étude seront mis à la disposition des journalistes à travers la bibliothèque de la maison de la presse et la bibliothèque de l’ISTC ». Pour lui, cela favorisera les opportunités d’échanges approfondis sur le contenu de cette étude en mettant un accent particulier sur comment mettre en œuvre les solutions.
« Le gouvernement ivoirien a fait le choix de soutenir la presse en finançant la production de certains journaux », mais « il ne sert à rien de produire des journaux s’ils ne sont pas écoulés », souligne Bruno Nabagné Koné, Ministre de la communication et de la Poste Numérique.
Cette cérémonie a été l’occasion pour le ministre de tutelle de dénoncer quelques tares qui minent le secteur de la presse en Côte d’Ivoire. Il s’agit entre autres du nombre excédent de quotidiens sur le marché, le problème de distribution, le manque d’imprimerie des journaux tabloïdes dans les villes de l’intérieur.
Toutefois, il propose quelques solutions qui pourraient s’ajouter à celles préconisées dans l’étude présentée à savoir la disposition d’un réseau commercial pour une étude du marché, l’amélioration du contenu des journaux et l’implémentation des imprimeries dans les villes de l’intérieur pour faciliter la distribution à temps réel afin de satisfaire le lectorat sur toute l’étendue du territoire national.
« L’heure de la qualité a sonné », poursuit le Ministre de la Communication et de la Poste Numérique, invitant ainsi les journalistes à offrir à la clientèle le fruit d’un travail sérieux.
DA et DK
En vue d’identifier les causes profondes des problèmes des médias observés en Côte d’Ivoire et surtout d’y trouver des solutions adéquates, l’UNESCO et l’ensemble du système des Nations Unies en collaboration avec les structures sous tutelle du ministère de la communication ont échangé leur savoir.
Cette étude a été subdivisée en deux parties. La première réalisée en juillet 2017 porte essentiellement sur la situation des médias toute presse confondue en Côte d’Ivoire. La seconde partie exécutée en octobre 2017 met en exergue les recommandations pertinentes et stratégies de renforcement des capacités pour la professionnalisation du secteur de la presse dans notre pays.
Dans un climat de transparence, Ado Yao, Directeur Général du bureau d’Abidjan de l’UNESCO se félicite de la mise sur pied de cette étude et affirme que les journalistes pourront rentrer en possession de ce document de plus de 400 pages : « Des exemplaires de cette étude seront mis à la disposition des journalistes à travers la bibliothèque de la maison de la presse et la bibliothèque de l’ISTC ». Pour lui, cela favorisera les opportunités d’échanges approfondis sur le contenu de cette étude en mettant un accent particulier sur comment mettre en œuvre les solutions.
« Le gouvernement ivoirien a fait le choix de soutenir la presse en finançant la production de certains journaux », mais « il ne sert à rien de produire des journaux s’ils ne sont pas écoulés », souligne Bruno Nabagné Koné, Ministre de la communication et de la Poste Numérique.
Cette cérémonie a été l’occasion pour le ministre de tutelle de dénoncer quelques tares qui minent le secteur de la presse en Côte d’Ivoire. Il s’agit entre autres du nombre excédent de quotidiens sur le marché, le problème de distribution, le manque d’imprimerie des journaux tabloïdes dans les villes de l’intérieur.
Toutefois, il propose quelques solutions qui pourraient s’ajouter à celles préconisées dans l’étude présentée à savoir la disposition d’un réseau commercial pour une étude du marché, l’amélioration du contenu des journaux et l’implémentation des imprimeries dans les villes de l’intérieur pour faciliter la distribution à temps réel afin de satisfaire le lectorat sur toute l’étendue du territoire national.
« L’heure de la qualité a sonné », poursuit le Ministre de la Communication et de la Poste Numérique, invitant ainsi les journalistes à offrir à la clientèle le fruit d’un travail sérieux.
DA et DK