Abidjan- Le pape François a accordé jeudi, la tête du dicastère pour la communication à Paolo Ruffini, un journaliste laïc.
Avant d'être le nouveau visage de la communication du Vatican, Paolo Ruffini, 62 ans, était l'une des figures du journalisme en Italie.
Ce Sicilien, fils d'un ancien ministre démocrate-chrétien, a commencé sa carrière dans la presse écrite en 1979, d'abord à Naples puis dans la capitale italienne. C'est ensuite à la télévision et la radio qu'il poursuit sa carrière, prenant successivement les rênes de la chaîne publique Rai 3 et depuis quatre ans TV 2000, le canal télévisé de la conférence épiscopale italienne, très regardé dans la péninsule.
Ruffini remplace Mgr Dario Viganon qui a démissionné en mars 2018, suite à la manipulation d'une lettre de Benoît XVI. Il est surtout et avant tout un laïc et le premier à diriger désormais un dicastère au Vatican, un « ministère ». Il prendra ses fonctions en septembre et aura pour chantier principal de poursuivre la lourde réforme des médias du Vatican.
Le pape François signe ainsi sa volonté de lutter contre le cléricalisme, un des maux qu'il reproche souvent à l'Église.
tls/cmas
Avant d'être le nouveau visage de la communication du Vatican, Paolo Ruffini, 62 ans, était l'une des figures du journalisme en Italie.
Ce Sicilien, fils d'un ancien ministre démocrate-chrétien, a commencé sa carrière dans la presse écrite en 1979, d'abord à Naples puis dans la capitale italienne. C'est ensuite à la télévision et la radio qu'il poursuit sa carrière, prenant successivement les rênes de la chaîne publique Rai 3 et depuis quatre ans TV 2000, le canal télévisé de la conférence épiscopale italienne, très regardé dans la péninsule.
Ruffini remplace Mgr Dario Viganon qui a démissionné en mars 2018, suite à la manipulation d'une lettre de Benoît XVI. Il est surtout et avant tout un laïc et le premier à diriger désormais un dicastère au Vatican, un « ministère ». Il prendra ses fonctions en septembre et aura pour chantier principal de poursuivre la lourde réforme des médias du Vatican.
Le pape François signe ainsi sa volonté de lutter contre le cléricalisme, un des maux qu'il reproche souvent à l'Église.
tls/cmas