Le tourisme médical entre la Côte d’Ivoire et la Tunisie a été mis en route, samedi, à travers la signature d’un accord de partenariat entre la Polyclinique Farah d’Abidjan et le Centre hospitalier international Carthagène de Tunis, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Le tourisme médical est en bonne place dans cet accord de partenariat paraphé par Dr Walid Zahreddine, Président Directeur général de la Polyclinique Farah et Bilel Zakhama , Directeur général adjoint du Centre hospitalier international Carthagène de Tunis.
Il a pour objectif « d’initier et renforcer le partage de bonnes pratiques et l’enseignement post-universitaire sur l’évolution de la science médicale, mais également l’échange et la formation du personnel paramédical ».
« Ce partenariat témoigne de la volonté de traduire en acte le même idéal d’excellence qui définit nos deux structures ainsi que la détermination à donner le meilleur pour satisfaire ensemble la demande de soins pointus de haut niveau en Côte d’Ivoire et dans la sous-région », a déclaré Dr Walid Zahreddine.
«Je me réjouis de constater que nous partageons la même conviction, c’est pourquoi, le Président Directeur général de Carthagène a très vite compris l’intérêt et les enjeux en instruisant ses collaborateurs à travailler à la concrétisation rapide et prompte de cette coopération Sud-Sud », a-t-il poursuivi.
Parlant du tourisme médical, le patron de la Polyclinique Farah a souligné que l’objectif de son établissement « est de faire diriger les expatriations de toute la sous-région, c’est-dire des pays de l’Afrique de l’Ouest vers la Côte d’Ivoire parce qu’au niveau de la Côte d’Ivoire, on a le potentiel de structures sanitaires privées, on a un plateau technique très performant ».
« A partir de la Côte d’Ivoire, s’il y a certains cas qu’on ne peut pas gérer, pour nous Farah, nous avons pris un engagement de rediriger ces malades vers l’hôpital Carthagène de Tunis, qu’on a déjà visité et dont on s’est rassuré de la qualité des soins, de la qualité des prestations, de la qualité des intervenants au niveau médical et paramédical ».
«Pour nous, si l’un des malades le souhaite ou son état nécessite une évacuation, ça va être de façon prioritaire au niveau de l’hôpital Carthagène», a conclu Dr Walid Zahreddine.
Le Directeur général adjoint du Centre hospitalier international Carthagène de Tunis, Bilel Zakhama, a pour sa part insisté sur « une collaboration d’échanges de compétence et du développement », car, a-t-il expliqué « c’est un system qui fera avancer la prise en charge du patient et la sécurité du patient».
« Le principe de la coopération n’est pas l’évacuation. Il s’agit de consolider nos efforts que ça soit à Abidjan ou à Tunis. Il s’agit de faire venir des médecins pour développer des techniques, faire du transfert de compétence, accompagner des médecins et apprendre aussi parce que chaque pays à sa spécificité et sa manière de faire », a soutenu M. Zakhama.
« Pour nous, c’est toujours un apprentissage de venir ici, permettre à notre personnel de faire un transfert de compétence », a-t-il ajouté, soulignant que « dans un deuxième volet, on va recevoir aussi des médecins de la Polyclinique Farah et son personnel pour apprendre les nouvelles techniques, apprendre à maîtriser une certaine compétence ».
« S’il y a des patients ici et que le plateau technique ici ne permet pas leur prise en charge, il sera préférable de les évacuer », a poursuivi Bilel Zakhama, se félicitant des investissements opérés par son partenaire, la Polyclinique Farah.
Cette signature d'accord a été précédée jeudi et vendredi par des séances de pratique avec des interventions chirurgicales dans deux pôles d’excellence de la Polyclinique Farah (la cardiologie interventionnelle et l’orthopédie). Le volet scientifique avec des études post-universitaires sur deux spécialités a eu lieu, samedi, après la signature de cet accord.
Située à Marcory résidentiel, dans le Sud d’Abidjan, la Polyclinique Farah, est la dernière-née des Polycliniques privées de Côte d’Ivoire qui poursuit « son élan de modernisation permanente ». Avec plateau technique de dernière génération, elle ambitionne d’offrir des prestations de qualité à l’échelle internationale.
Le Centre hospitalier international Carthagène de Tunis est un établissement de santé de haut standing qui se distingue par sa grande capacité d’accueil (250 lits), par son plateau technique performant et innovant, et surtout par ses intervenants médicaux.
APA
Le tourisme médical est en bonne place dans cet accord de partenariat paraphé par Dr Walid Zahreddine, Président Directeur général de la Polyclinique Farah et Bilel Zakhama , Directeur général adjoint du Centre hospitalier international Carthagène de Tunis.
Il a pour objectif « d’initier et renforcer le partage de bonnes pratiques et l’enseignement post-universitaire sur l’évolution de la science médicale, mais également l’échange et la formation du personnel paramédical ».
« Ce partenariat témoigne de la volonté de traduire en acte le même idéal d’excellence qui définit nos deux structures ainsi que la détermination à donner le meilleur pour satisfaire ensemble la demande de soins pointus de haut niveau en Côte d’Ivoire et dans la sous-région », a déclaré Dr Walid Zahreddine.
«Je me réjouis de constater que nous partageons la même conviction, c’est pourquoi, le Président Directeur général de Carthagène a très vite compris l’intérêt et les enjeux en instruisant ses collaborateurs à travailler à la concrétisation rapide et prompte de cette coopération Sud-Sud », a-t-il poursuivi.
Parlant du tourisme médical, le patron de la Polyclinique Farah a souligné que l’objectif de son établissement « est de faire diriger les expatriations de toute la sous-région, c’est-dire des pays de l’Afrique de l’Ouest vers la Côte d’Ivoire parce qu’au niveau de la Côte d’Ivoire, on a le potentiel de structures sanitaires privées, on a un plateau technique très performant ».
« A partir de la Côte d’Ivoire, s’il y a certains cas qu’on ne peut pas gérer, pour nous Farah, nous avons pris un engagement de rediriger ces malades vers l’hôpital Carthagène de Tunis, qu’on a déjà visité et dont on s’est rassuré de la qualité des soins, de la qualité des prestations, de la qualité des intervenants au niveau médical et paramédical ».
«Pour nous, si l’un des malades le souhaite ou son état nécessite une évacuation, ça va être de façon prioritaire au niveau de l’hôpital Carthagène», a conclu Dr Walid Zahreddine.
Le Directeur général adjoint du Centre hospitalier international Carthagène de Tunis, Bilel Zakhama, a pour sa part insisté sur « une collaboration d’échanges de compétence et du développement », car, a-t-il expliqué « c’est un system qui fera avancer la prise en charge du patient et la sécurité du patient».
« Le principe de la coopération n’est pas l’évacuation. Il s’agit de consolider nos efforts que ça soit à Abidjan ou à Tunis. Il s’agit de faire venir des médecins pour développer des techniques, faire du transfert de compétence, accompagner des médecins et apprendre aussi parce que chaque pays à sa spécificité et sa manière de faire », a soutenu M. Zakhama.
« Pour nous, c’est toujours un apprentissage de venir ici, permettre à notre personnel de faire un transfert de compétence », a-t-il ajouté, soulignant que « dans un deuxième volet, on va recevoir aussi des médecins de la Polyclinique Farah et son personnel pour apprendre les nouvelles techniques, apprendre à maîtriser une certaine compétence ».
« S’il y a des patients ici et que le plateau technique ici ne permet pas leur prise en charge, il sera préférable de les évacuer », a poursuivi Bilel Zakhama, se félicitant des investissements opérés par son partenaire, la Polyclinique Farah.
Cette signature d'accord a été précédée jeudi et vendredi par des séances de pratique avec des interventions chirurgicales dans deux pôles d’excellence de la Polyclinique Farah (la cardiologie interventionnelle et l’orthopédie). Le volet scientifique avec des études post-universitaires sur deux spécialités a eu lieu, samedi, après la signature de cet accord.
Située à Marcory résidentiel, dans le Sud d’Abidjan, la Polyclinique Farah, est la dernière-née des Polycliniques privées de Côte d’Ivoire qui poursuit « son élan de modernisation permanente ». Avec plateau technique de dernière génération, elle ambitionne d’offrir des prestations de qualité à l’échelle internationale.
Le Centre hospitalier international Carthagène de Tunis est un établissement de santé de haut standing qui se distingue par sa grande capacité d’accueil (250 lits), par son plateau technique performant et innovant, et surtout par ses intervenants médicaux.
APA