Le projet AMRUGE-CI apporte son appui à la création du Centre d’analyses de Côte d’Ivoire (CNACI). Un atelier d’échanges sur le choix des équipements scientifiques de pointe, destinés à la recherche dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI N°2, a été organisé le mercredi 11 juillet, au Pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouët-Boigny à Bingerville.
Le C2D soutient financièrement le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) dans l’organisation de ces travaux de réflexion pour avoir une liste d’équipements scientifiques de pointe, pertinents et mutualisables, pour redynamiser et moderniser la recherche scientifique, en favorisant la mise en commun des compétences humaines et matérielles pour une utilisation et gestion rationnelle et optimale de ces équipements.
Ces équipements seront destinés au CNACI qui constitue, avec les observatoires et le Centre national de calcul de Côte d’Ivoire, les moyens communautaires de recherche que l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagé à mettre en place.
Cette initiative qui a débuté en mai 2015, a besoin de reposer sur un mode de gouvernance et de maintenance pouvant garantir la pérennité des équipements scientifiques de recherche, d’où l’importance de la tenue de ce deuxième atelier qui mène à la concrétisation de ce projet.
Selon le Directeur de Cabinet, Prof Assane Thiam, représentant du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, au cours de la cérémonie d’ouverture de cet atelier, la création de CNACI revêt de nombreux avantages.
Ce sont, entre autres l’amélioration de la qualité de la recherche effectuée en Côte d’Ivoire et rendre ses résultats plus compétitifs au niveau international, la préservation des droits de propriété intellectuelle de chercheurs locaux, la réduction des voyages d’études de longues durées, très coûteux, des enseignants-chercheurs.
A travers le CNACI, le nombre de formations doctorales va augmenter avec le développement des écoles doctorales. Il y a aussi le renforcement de la collaboration et les échanges avec les chercheurs sous régionaux et internationaux.
« Si le projet d’acquérir un centre national de calcul haute performance et un centre d’analyse sont en train de devenir une réalité en Côte d’Ivoire, c’est d’abord parce qu’il intégrait parfaitement dans le Programme présidentiel d’urgence portant construction d’établissements d’enseignement supérieur, rénovation des universités existantes, développement des moyens communautaires de recherche et acquisition d’équipements scientifiques », a déclaré Prof Assana Thiam.
Par ailleurs, au nom du MESRS, il a exprimé sa profonde gratitude à l’Ambassadeur de France et à l’Agence Française de Développement (AFD), pour leur appui inestimable et constant pour le développement du système d’enseignement supérieur et de recherche en Côte d’Ivoire. Il n’a pas omis dans ses remerciements, les institutions françaises de recherche partenaires dont le CIRAD, l’IRD et l’Institut pasteur de Paris.
Notons que ce sont 120 (cent vingt) participants issus des institutions et structures de recherche nationales et internationales qui prennent part à ces travaux qui se dérouleront du 11 au 13 juillet 2018, autour des thématiques suivantes : sciences de la santé (Odontostomatologie, Pharmacie et Médecine), Sciences et Technologies et Sciences Agronomiques (Sciences et techniques, sciences de la vie, Sciences de la terre, Sciences agronomiques).
Les laboratoires de recherche en Côte d’Ivoire ont pour la plupart, des équipements scientifiques obsolètes. Les équipements opérationnels, en nombre insuffisant, sont dispersés géographiquement dans les établissements d’enseignement supérieur et les institutions de recherche, avec pour conséquence directe, leur sous-utilisation faute de mutualisation pour les rares équipements.
JOB
Le C2D soutient financièrement le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) dans l’organisation de ces travaux de réflexion pour avoir une liste d’équipements scientifiques de pointe, pertinents et mutualisables, pour redynamiser et moderniser la recherche scientifique, en favorisant la mise en commun des compétences humaines et matérielles pour une utilisation et gestion rationnelle et optimale de ces équipements.
Ces équipements seront destinés au CNACI qui constitue, avec les observatoires et le Centre national de calcul de Côte d’Ivoire, les moyens communautaires de recherche que l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagé à mettre en place.
Cette initiative qui a débuté en mai 2015, a besoin de reposer sur un mode de gouvernance et de maintenance pouvant garantir la pérennité des équipements scientifiques de recherche, d’où l’importance de la tenue de ce deuxième atelier qui mène à la concrétisation de ce projet.
Selon le Directeur de Cabinet, Prof Assane Thiam, représentant du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, au cours de la cérémonie d’ouverture de cet atelier, la création de CNACI revêt de nombreux avantages.
Ce sont, entre autres l’amélioration de la qualité de la recherche effectuée en Côte d’Ivoire et rendre ses résultats plus compétitifs au niveau international, la préservation des droits de propriété intellectuelle de chercheurs locaux, la réduction des voyages d’études de longues durées, très coûteux, des enseignants-chercheurs.
A travers le CNACI, le nombre de formations doctorales va augmenter avec le développement des écoles doctorales. Il y a aussi le renforcement de la collaboration et les échanges avec les chercheurs sous régionaux et internationaux.
« Si le projet d’acquérir un centre national de calcul haute performance et un centre d’analyse sont en train de devenir une réalité en Côte d’Ivoire, c’est d’abord parce qu’il intégrait parfaitement dans le Programme présidentiel d’urgence portant construction d’établissements d’enseignement supérieur, rénovation des universités existantes, développement des moyens communautaires de recherche et acquisition d’équipements scientifiques », a déclaré Prof Assana Thiam.
Par ailleurs, au nom du MESRS, il a exprimé sa profonde gratitude à l’Ambassadeur de France et à l’Agence Française de Développement (AFD), pour leur appui inestimable et constant pour le développement du système d’enseignement supérieur et de recherche en Côte d’Ivoire. Il n’a pas omis dans ses remerciements, les institutions françaises de recherche partenaires dont le CIRAD, l’IRD et l’Institut pasteur de Paris.
Notons que ce sont 120 (cent vingt) participants issus des institutions et structures de recherche nationales et internationales qui prennent part à ces travaux qui se dérouleront du 11 au 13 juillet 2018, autour des thématiques suivantes : sciences de la santé (Odontostomatologie, Pharmacie et Médecine), Sciences et Technologies et Sciences Agronomiques (Sciences et techniques, sciences de la vie, Sciences de la terre, Sciences agronomiques).
Les laboratoires de recherche en Côte d’Ivoire ont pour la plupart, des équipements scientifiques obsolètes. Les équipements opérationnels, en nombre insuffisant, sont dispersés géographiquement dans les établissements d’enseignement supérieur et les institutions de recherche, avec pour conséquence directe, leur sous-utilisation faute de mutualisation pour les rares équipements.
JOB