A l’occasion de la célébration des 10 ans de l’amicale des épouses du personnel de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, les membres de cette amicale ont organisé récemment une conférence sur le cancer du col de l’utérus.
Pour bien mener cette conférence, elles ont fait appel à Mme Senou Marie Chantal épouse Kouamé, sage-femme major aux urgences gynécologiques du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bouaké. Selon les organisatrices, l’objectif de cette conférence sera de tirer la sonnette d’alarme et de pointer les multiples réalités médicales, sociales et économiques du cancer du col de l’utérus au niveau des populations de Bouaké. Pour Mme Kouamé Amenan Thérèse épse Assoa, il s’agira d’expliquer directement aux femmes les facteurs de risques de cette pathologie, les comportements de prévention à adopter et les recours possibles en cas d’infection. « Par de telles actions nous voulons nous engager de façon résolue dans la promotion de la lutte contre le cancer du col de l’utérus chez les femmes à Bouaké. La conférence est pour nous, un engagement solidaire pour la lutte contre le cancer à Bouaké», a dit Mme Kouamé Amenan Thérèse.
Devant les nombreuses femmes et leurs époux, la conférencière a axé son intervention sur trois points, à savoir les facteurs, les manifestations et le traitement du cancer du col de l’utérus. Après cette explication, la conférencière a précisé que le traitement est très difficile lorsque la maladie est déclarée et rares sont les femmes qui en guérissent. C’est pourquoi, elle a invité «ses sœurs» à se faire dépister régulièrement et éviter tous comportements à risque. Selon les statistiques de l’OMS, plus de 500.000 femmes dans le monde souffriraient du cancer du col de l’utérus. Ce qui représente 80% à 85% des cancers dans les pays sous-développés. Toutefois, la mortalité spécifique est aujourd’hui située à 50%. Une séance de dépistage volontaire et un bal dans la soirée ont mis fin à la célébration des 10 ans de l’amicale des épouses du personnel de l’enseignement technique et de la formation professionnelle à Bouaké.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
Pour bien mener cette conférence, elles ont fait appel à Mme Senou Marie Chantal épouse Kouamé, sage-femme major aux urgences gynécologiques du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bouaké. Selon les organisatrices, l’objectif de cette conférence sera de tirer la sonnette d’alarme et de pointer les multiples réalités médicales, sociales et économiques du cancer du col de l’utérus au niveau des populations de Bouaké. Pour Mme Kouamé Amenan Thérèse épse Assoa, il s’agira d’expliquer directement aux femmes les facteurs de risques de cette pathologie, les comportements de prévention à adopter et les recours possibles en cas d’infection. « Par de telles actions nous voulons nous engager de façon résolue dans la promotion de la lutte contre le cancer du col de l’utérus chez les femmes à Bouaké. La conférence est pour nous, un engagement solidaire pour la lutte contre le cancer à Bouaké», a dit Mme Kouamé Amenan Thérèse.
Devant les nombreuses femmes et leurs époux, la conférencière a axé son intervention sur trois points, à savoir les facteurs, les manifestations et le traitement du cancer du col de l’utérus. Après cette explication, la conférencière a précisé que le traitement est très difficile lorsque la maladie est déclarée et rares sont les femmes qui en guérissent. C’est pourquoi, elle a invité «ses sœurs» à se faire dépister régulièrement et éviter tous comportements à risque. Selon les statistiques de l’OMS, plus de 500.000 femmes dans le monde souffriraient du cancer du col de l’utérus. Ce qui représente 80% à 85% des cancers dans les pays sous-développés. Toutefois, la mortalité spécifique est aujourd’hui située à 50%. Une séance de dépistage volontaire et un bal dans la soirée ont mis fin à la célébration des 10 ans de l’amicale des épouses du personnel de l’enseignement technique et de la formation professionnelle à Bouaké.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké