Abidjan- Le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Ally Coulibaly , a rassuré vendredi une mission d’évaluation externe forte d'une trentaine d'experts en Côte d'Ivoire, du 10 au 30 juillet, sur la pratique de la bonne gouvernance dans le pays.
Présidée par le professeur Mahamadou Kayal, cette mission a pour objectif de mener des larges consultations avec les parties prenantes nationales tant à Abidjan qu'a l'intérieur du pays.
« Il n’ya pas lieu d’avoir peur car nous avons déjà eu à avoir à faire à des agences de notation. Nous sommes prêts à changer ce qui mérite de l’être. La bonne gouvernance, c’est l’Alpha et l’Omega. C’est la condition sine qua non que nous nous sommes fixés pour atteindre l’émergence. Nous attendons avec beaucoup d’intérêt les conclusions de cette évaluation », a précisé le ministre Ally Coulibaly.
Cette évaluation est faite par une mission d’évaluation externe, composée d’experts africains et conduite par le panel des éminentes personnalités, chargé de la Côte d’Ivoire. Dans l’optique d’améliorer sa gouvernance, la Côte d’Ivoire a adhéré au mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP) le 29 janvier 2015.
A la suite de cette adhésion, la Commission nationale du mécanisme africain d’évaluation par les pairs (CN-MAEP) a été créée avec pour mission de conduire le processus d’évaluation interne des politiques et pratiques mises en œuvres en Côte d’Ivoire au regard des normes et codes internationalement admis et d’assurer le suivi et la mise en œuvre des résultats de l’évaluation.
Afin de s’assurer du caractère inclusif et participatif de ce processus en Côte d’Ivoire, la Commission nationale du MAEP a priorisé la mise en place d’un cadre de dialogue multi-acteurs sur la gouvernance à travers le premier axe de son plan stratégique.
Cela s’est traduit notamment par l’identification de 14 groupes majeures représentants les associations faitières au niveau national de la société civile et de l’administration, la mise en place de 18 groupes focaux couvrant tout le territoire national et la signature de convention de partenariat avec ces groupes majeurs.
Ce cadre d’échange et de concertation a permis à toutes les parties prenantes spécifiquement aux organisations des femmes, des jeunes, des paysans, des médias, des syndicats, des religieux, des personnes en situation de handicap et des autres organisations de la société civile d’aboutir à une compréhension commune du MAEP, de construire conjointement le caractère participatif et inclusif de l’évaluation et de faire des propositions pour l’amélioration de la gouvernance.
Présidée par le professeur Mahamadou Kayal, cette mission a pour objectif de mener des larges consultations avec les parties prenantes nationales tant à Abidjan qu'a l'intérieur du pays.
« Il n’ya pas lieu d’avoir peur car nous avons déjà eu à avoir à faire à des agences de notation. Nous sommes prêts à changer ce qui mérite de l’être. La bonne gouvernance, c’est l’Alpha et l’Omega. C’est la condition sine qua non que nous nous sommes fixés pour atteindre l’émergence. Nous attendons avec beaucoup d’intérêt les conclusions de cette évaluation », a précisé le ministre Ally Coulibaly.
Cette évaluation est faite par une mission d’évaluation externe, composée d’experts africains et conduite par le panel des éminentes personnalités, chargé de la Côte d’Ivoire. Dans l’optique d’améliorer sa gouvernance, la Côte d’Ivoire a adhéré au mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP) le 29 janvier 2015.
A la suite de cette adhésion, la Commission nationale du mécanisme africain d’évaluation par les pairs (CN-MAEP) a été créée avec pour mission de conduire le processus d’évaluation interne des politiques et pratiques mises en œuvres en Côte d’Ivoire au regard des normes et codes internationalement admis et d’assurer le suivi et la mise en œuvre des résultats de l’évaluation.
Afin de s’assurer du caractère inclusif et participatif de ce processus en Côte d’Ivoire, la Commission nationale du MAEP a priorisé la mise en place d’un cadre de dialogue multi-acteurs sur la gouvernance à travers le premier axe de son plan stratégique.
Cela s’est traduit notamment par l’identification de 14 groupes majeures représentants les associations faitières au niveau national de la société civile et de l’administration, la mise en place de 18 groupes focaux couvrant tout le territoire national et la signature de convention de partenariat avec ces groupes majeurs.
Ce cadre d’échange et de concertation a permis à toutes les parties prenantes spécifiquement aux organisations des femmes, des jeunes, des paysans, des médias, des syndicats, des religieux, des personnes en situation de handicap et des autres organisations de la société civile d’aboutir à une compréhension commune du MAEP, de construire conjointement le caractère participatif et inclusif de l’évaluation et de faire des propositions pour l’amélioration de la gouvernance.