Le Conseil Supérieur des Imams de Côte d’Ivoire (COSIM), dans une déclaration ce mercredi 18 juillet 2018, a tenu à se prononcer sur la situation relative à l’incarcération de l’imam Aguib Touré, poursuivi pour incitation à la haine, à la discrimination religieuse, scolaire et aussi pour xénophobie et terrorisme.
El Hadj Sékou Sylla, le porte parole du COSIM, a appelé les autorités judiciaires à un traitement ‘’diligent, juste et équitable’’ de la procédure. Et il a invité la communauté nationale et en particulier la communauté musulmane à la sérénité et à l’apaisement. Il a fait observer que le COSIM est en contact régulier avec les autorités publiques afin de faire en sorte d’aboutir à une issue heureuse concernant cette affaire.
Contrairement aux informations tendant à faire croire que le COSIM serait resté les bras croisés depuis le déclenchement de cette affaire, El Hadj Sékou Sylla a révélé que quoique l’imam Aguib Touré ne soit pas membre du COSIM, l’Organisation religieuse, compte tenu de la mention de imam inscrite sur la convocation et relayée par les médias, a déployé un avocat au barreau d’Abidjan à l’effet de suivre la procédure aux côtés d’autres avocats, conseil d’Aguib Touré. Et s’assurer ainsi qu’il bénéficie d’un traitement digne.
‘’Le COSIM a toujours combattu la xénophobie et régulièrement œuvré dans le sens de la cohabitation pacifique et de la cohésion des communautés religieuses nationales et étrangères en Côte d’Ivoire. Et encouragé les guides religieux les prédicateurs dans cette dynamique’’, a précisé le porte parole de l’organisation religieuse. Poursuivant El Hadj Sékou Sylla a affirmé que ‘’les améliorations fondamentales dans l’organisation du hadj, axées notamment sur une meilleure prise en charge des pèlerins au plan religieux, médical, social, au plan des infrastructures etc, sont à mettre au compte sans contexte des autorités publiques actuelles’’.
Pour finir, il a réitéré l’appel du COSIM à l’endroit des imams, des prédicateurs et des guides religieux à la sagesse et a la bonne exhortation, conformément au Coran.
Pour rappel, l’imam Aguib Touré après son audition lundi 9 juillet au parquet d’Abidjan, a été écroué le mardi 10 juillet à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).
Elisée B.
El Hadj Sékou Sylla, le porte parole du COSIM, a appelé les autorités judiciaires à un traitement ‘’diligent, juste et équitable’’ de la procédure. Et il a invité la communauté nationale et en particulier la communauté musulmane à la sérénité et à l’apaisement. Il a fait observer que le COSIM est en contact régulier avec les autorités publiques afin de faire en sorte d’aboutir à une issue heureuse concernant cette affaire.
Contrairement aux informations tendant à faire croire que le COSIM serait resté les bras croisés depuis le déclenchement de cette affaire, El Hadj Sékou Sylla a révélé que quoique l’imam Aguib Touré ne soit pas membre du COSIM, l’Organisation religieuse, compte tenu de la mention de imam inscrite sur la convocation et relayée par les médias, a déployé un avocat au barreau d’Abidjan à l’effet de suivre la procédure aux côtés d’autres avocats, conseil d’Aguib Touré. Et s’assurer ainsi qu’il bénéficie d’un traitement digne.
‘’Le COSIM a toujours combattu la xénophobie et régulièrement œuvré dans le sens de la cohabitation pacifique et de la cohésion des communautés religieuses nationales et étrangères en Côte d’Ivoire. Et encouragé les guides religieux les prédicateurs dans cette dynamique’’, a précisé le porte parole de l’organisation religieuse. Poursuivant El Hadj Sékou Sylla a affirmé que ‘’les améliorations fondamentales dans l’organisation du hadj, axées notamment sur une meilleure prise en charge des pèlerins au plan religieux, médical, social, au plan des infrastructures etc, sont à mettre au compte sans contexte des autorités publiques actuelles’’.
Pour finir, il a réitéré l’appel du COSIM à l’endroit des imams, des prédicateurs et des guides religieux à la sagesse et a la bonne exhortation, conformément au Coran.
Pour rappel, l’imam Aguib Touré après son audition lundi 9 juillet au parquet d’Abidjan, a été écroué le mardi 10 juillet à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).
Elisée B.