Le Comité National et le Comité Technique Interministériel de la REDD+ ont validé ce Jeudi 19 Juillet 2018 à Abidjan le R-Package, Rapport d’évaluation de la phase de préparation au mécanisme de Réduction des Emissions de gaz à effet de serre issues de la Déforestation et de la Dégradation des forêts (REDD+).
Le « Readiness-Package » est un document qui permet de dresser un bilan des progrès accomplis par la Côte d’Ivoire depuis la validation de son plan de préparation à la REDD+ et de définir les actions à suivre pour passer à l’étape de la réalisation des activités basées sur les résultats.
Au terme des échanges, il ressort que le document du R-Package de la Côte d’Ivoire reflète des progrès dans son processus de préparation à la REDD+ depuis 2014 selon un cadre d’évaluation qui définit les avancées sur le développement des outils et divers éléments nécessaires, la participation des parties prenantes, les forces et faiblesses ainsi que les mesures à prendre pour renforcer le processus de préparation.
« La phase préparatoire de la REDD+ Cote d’Ivoire enregistre des progrès significatifs de 8,8 % en Mai 2016 à 58,8 % en Juillet 2018 » annonce le Secrétaire Exécutif Permanent de la REDD+ COTE D’IVOIRE.
Selon lui, cette phase a été tirée par le haut à travers des actions engagées par l’ensemble des parties prenantes à travers la coordination multisectorielle et la collaboration intersectorielle.
La préparation à la REDD+ ayant connu une avancée notable avec la mise à disposition de son architecture nationale à savoir le niveau de référence estimé à 40 millions de T Eq CO2 , le système national de Surveillance des Forêts, les instruments de sauvegardes environnementale et sociale et la stratégie nationale REDD+ , il était temps de procéder à l’auto-évaluation de cette phase de préparation avec l’ensemble des parties prenantes.
Le Secrétariat Exécutif Permanent de la REDD+ a alors conduit des séances d’évaluation de la mise en œuvre du plan de préparation de la REDD+ en Côte d’Ivoire du 12 au 17 juillet 2018 avec la participation du Corps préfectoral, des Directions et Représentations régionales, des Elus locaux, des Autorités traditionnelles et guides religieux, de la Société civile, du Secteur privé, des Médias, des Centres de recherche et universités et des Communautés locales.
Le Programme de réduction des émissions de gaz à effet de serre de la Côte d’Ivoire sera soumis aux partenaires techniques et financiers avant d’être finalisé en Septembre 2018 révèle le Secrétaire Exécutif Permanent de la REDD+ COTE D’IVOIRE. 4 régions ont été identifiées pour la phase de démarrage du processus selon Colonel KOUAME AHOULOU Ernest. Il s’agit des régions du Guemon, du Cavally, de San-Pedro et de la Nawa.
Ainsi, le pays devrait pourvoir mobiliser plus de 200 millions de dollars soit près de de 112 milliards de F CFA.
La Côte d’Ivoire a été acceptée en Octobre 2015 dans le pipeline du Fonds Carbone du Fonds de Partenariat pour le Carbone Forestier (FCPF) et prépare actuellement un Programme de Réduction des Emissions du secteur agricole au Sud-Ouest du pays autour du Parc National de Taï pour le paiement des futures réductions d’émissions par ce Fonds Carbone.
Les conclusions de l’évaluation de la phase préparatoire à la REDD+ fourniront au Fonds carbone les renseignements supplémentaires dont il a besoin pour vérifier que le programme de réduction des émissions est compatible avec les activités nationales de préparation à la REDD+, et que les activités de ce programme de réduction des émissions répondent aux exigences relatives aux mesures de sauvegardes. Ces politiques dites « de sauvegarde » ont pour but d’identifier, d’éviter et de minimiser les préjudices éventuels pour les populations et l’environnement (Source : Banque Mondiale).
Le plan de préparation au mécanisme REDD+ de la Côte d’Ivoire, approuvé en 2014 par le Comité des Participants du Fonds de Carbone Forestier (FCPF) et par le Conseil d’Orientation de l’ONU-REDD a permis la mise à disposition des financements à hauteur de 5 millions de dollars américains pour mener la phase de préparation.
A la suite d’une première évaluation de ce processus de préparation en Mai 2016, la Côte d’Ivoire a mobilisé des financements additionnels du Fonds de Préparation du FCPF d’un montant de 5 millions de dollars américains soit au total 10 millions de dollars.
Ces financements permettent de finaliser la phase préparation et d’opérationnaliser les outils de mise en œuvre de la REDD+ en Côte d’Ivoire.
Les forêts ivoiriennes sont passées de 16 millions d’hectares en 1900 à 3,4 millions d’hectares en 2015, soit plus de 75% en moins d’un demi-siècle.
Dans l’optique de contribuer à la lutte mondiale contre le changement climatique et surtout pour la restauration de son couvert forestier de 20% d’ici 2030. Pour la mise en œuvre de son plan de préparation, le pays a bénéficié de l’appui de la Banque Mondiale, de l’ONU-REDD (PNUD, FAO, ONU-environnement), de la facilité REDD+ de l’Union européenne (EFI), de l’IRD et de l’AFD.
Le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable est en charge du pilotage du processus national REDD+, au travers d’une Commission nationale REDD+, un comité technique interministériel et un Secrétariat Exécutif Permanent pour la REDD+.
Le « Readiness-Package » est un document qui permet de dresser un bilan des progrès accomplis par la Côte d’Ivoire depuis la validation de son plan de préparation à la REDD+ et de définir les actions à suivre pour passer à l’étape de la réalisation des activités basées sur les résultats.
Au terme des échanges, il ressort que le document du R-Package de la Côte d’Ivoire reflète des progrès dans son processus de préparation à la REDD+ depuis 2014 selon un cadre d’évaluation qui définit les avancées sur le développement des outils et divers éléments nécessaires, la participation des parties prenantes, les forces et faiblesses ainsi que les mesures à prendre pour renforcer le processus de préparation.
« La phase préparatoire de la REDD+ Cote d’Ivoire enregistre des progrès significatifs de 8,8 % en Mai 2016 à 58,8 % en Juillet 2018 » annonce le Secrétaire Exécutif Permanent de la REDD+ COTE D’IVOIRE.
Selon lui, cette phase a été tirée par le haut à travers des actions engagées par l’ensemble des parties prenantes à travers la coordination multisectorielle et la collaboration intersectorielle.
La préparation à la REDD+ ayant connu une avancée notable avec la mise à disposition de son architecture nationale à savoir le niveau de référence estimé à 40 millions de T Eq CO2 , le système national de Surveillance des Forêts, les instruments de sauvegardes environnementale et sociale et la stratégie nationale REDD+ , il était temps de procéder à l’auto-évaluation de cette phase de préparation avec l’ensemble des parties prenantes.
Le Secrétariat Exécutif Permanent de la REDD+ a alors conduit des séances d’évaluation de la mise en œuvre du plan de préparation de la REDD+ en Côte d’Ivoire du 12 au 17 juillet 2018 avec la participation du Corps préfectoral, des Directions et Représentations régionales, des Elus locaux, des Autorités traditionnelles et guides religieux, de la Société civile, du Secteur privé, des Médias, des Centres de recherche et universités et des Communautés locales.
Le Programme de réduction des émissions de gaz à effet de serre de la Côte d’Ivoire sera soumis aux partenaires techniques et financiers avant d’être finalisé en Septembre 2018 révèle le Secrétaire Exécutif Permanent de la REDD+ COTE D’IVOIRE. 4 régions ont été identifiées pour la phase de démarrage du processus selon Colonel KOUAME AHOULOU Ernest. Il s’agit des régions du Guemon, du Cavally, de San-Pedro et de la Nawa.
Ainsi, le pays devrait pourvoir mobiliser plus de 200 millions de dollars soit près de de 112 milliards de F CFA.
La Côte d’Ivoire a été acceptée en Octobre 2015 dans le pipeline du Fonds Carbone du Fonds de Partenariat pour le Carbone Forestier (FCPF) et prépare actuellement un Programme de Réduction des Emissions du secteur agricole au Sud-Ouest du pays autour du Parc National de Taï pour le paiement des futures réductions d’émissions par ce Fonds Carbone.
Les conclusions de l’évaluation de la phase préparatoire à la REDD+ fourniront au Fonds carbone les renseignements supplémentaires dont il a besoin pour vérifier que le programme de réduction des émissions est compatible avec les activités nationales de préparation à la REDD+, et que les activités de ce programme de réduction des émissions répondent aux exigences relatives aux mesures de sauvegardes. Ces politiques dites « de sauvegarde » ont pour but d’identifier, d’éviter et de minimiser les préjudices éventuels pour les populations et l’environnement (Source : Banque Mondiale).
Le plan de préparation au mécanisme REDD+ de la Côte d’Ivoire, approuvé en 2014 par le Comité des Participants du Fonds de Carbone Forestier (FCPF) et par le Conseil d’Orientation de l’ONU-REDD a permis la mise à disposition des financements à hauteur de 5 millions de dollars américains pour mener la phase de préparation.
A la suite d’une première évaluation de ce processus de préparation en Mai 2016, la Côte d’Ivoire a mobilisé des financements additionnels du Fonds de Préparation du FCPF d’un montant de 5 millions de dollars américains soit au total 10 millions de dollars.
Ces financements permettent de finaliser la phase préparation et d’opérationnaliser les outils de mise en œuvre de la REDD+ en Côte d’Ivoire.
Les forêts ivoiriennes sont passées de 16 millions d’hectares en 1900 à 3,4 millions d’hectares en 2015, soit plus de 75% en moins d’un demi-siècle.
Dans l’optique de contribuer à la lutte mondiale contre le changement climatique et surtout pour la restauration de son couvert forestier de 20% d’ici 2030. Pour la mise en œuvre de son plan de préparation, le pays a bénéficié de l’appui de la Banque Mondiale, de l’ONU-REDD (PNUD, FAO, ONU-environnement), de la facilité REDD+ de l’Union européenne (EFI), de l’IRD et de l’AFD.
Le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable est en charge du pilotage du processus national REDD+, au travers d’une Commission nationale REDD+, un comité technique interministériel et un Secrétariat Exécutif Permanent pour la REDD+.