Abidjan- Un symposium sur les maladies chroniques non transmissible (MNT) et le diabète a été organisé, jeudi, au Centre hospitalier et universitaire de Yopougon (CHU) par l’association obésité et diabète de Côte d’Ivoire (AODCI).
Organisé en partenaire avec la Fondation mondiale du diabète et l’alliance des organisations de lutte contre les maladies non transmissibles de Côte d’Ivoire (AOMNT-CI), ce cadre d'échanges vise à combattre la charge croissantes des MNT, notamment le diabète et maladies métaboliques hypertension et les maladies cardio-vasculaires, le goitre et les maladies de la thyroïde et bien d’autres.
« Malgré les engagements politiques continus, les progrès réalisés restent insuffisants, très inégaux, parcellaires et bien souvent inefficaces. En 2015, près de ¾ des pays ont très peu progressé voire pas du tout dans leur engagement lors de l’Assemblée des Nations-Unies en 2011 et en 2014 », a fait savoir Pr Abodo Jacko, président de l’AODCI estimant que les progrès sont impossibles sans la participation de plusieurs parties et secteurs.
« Nos pays africains qui ont placé l’émergence en 2020, 2030 voire 2050 auront beaucoup de mal à y arriver si les problèmes liés au diabète et aux maladies chroniques non transmissible ne sont pas pris à la racine », a prévenu Pr Abodo.
Selon, le représentant du ministère de la santé et de l’hygiène publique, Dr Adoueni Katché Valéry, directeur coordinateur du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques (PNLMM), les MNT étaient responsable de 40 millions de décès, soit 70% de l’ensemble des décès à l’échelle mondiale. Une forte proportion des décès étaient prématurés (38% des décès dus aux MNT et 27% de l’ensemble des décès).
« Le monde ne sera pas en mesure de réaliser la cible 3.4 des objectifs de développement durables constituant, d’ici à 2030, s'il n’arrive pas à réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématuré due au MNT », a-t-il alerté.
Ce premier symposium sur les maladies chroniques non transmissible qui a rassemblé plus de 300 participants venus de plus de 15 pays africains et européens a été marqués par des ateliers sur le tabac, le sel, l’alcool, le sucre, la drogue, le sport etc. Les résolutions de cette rencontre seront soumises au ministère de la santé et de l’hygiène publique et au 3e sommet mondial sur le diabète et les MNT en novembre prochain à New-York.
Sont appelées, maladies chroniques non transmissible, celles qui ne peuvent pas être transmise à travers un contact physique. Elles sont transmises de façon génétique et environnementaux à savoir les activités physiques, l’alimentation déséquilibrée, l’absence de consommation de fruit et légumes (Cancer, insuffisance rénale, les AVC, l’hypertension artérielle…), le tabagisme, etc.
bsb/tm
Organisé en partenaire avec la Fondation mondiale du diabète et l’alliance des organisations de lutte contre les maladies non transmissibles de Côte d’Ivoire (AOMNT-CI), ce cadre d'échanges vise à combattre la charge croissantes des MNT, notamment le diabète et maladies métaboliques hypertension et les maladies cardio-vasculaires, le goitre et les maladies de la thyroïde et bien d’autres.
« Malgré les engagements politiques continus, les progrès réalisés restent insuffisants, très inégaux, parcellaires et bien souvent inefficaces. En 2015, près de ¾ des pays ont très peu progressé voire pas du tout dans leur engagement lors de l’Assemblée des Nations-Unies en 2011 et en 2014 », a fait savoir Pr Abodo Jacko, président de l’AODCI estimant que les progrès sont impossibles sans la participation de plusieurs parties et secteurs.
« Nos pays africains qui ont placé l’émergence en 2020, 2030 voire 2050 auront beaucoup de mal à y arriver si les problèmes liés au diabète et aux maladies chroniques non transmissible ne sont pas pris à la racine », a prévenu Pr Abodo.
Selon, le représentant du ministère de la santé et de l’hygiène publique, Dr Adoueni Katché Valéry, directeur coordinateur du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques (PNLMM), les MNT étaient responsable de 40 millions de décès, soit 70% de l’ensemble des décès à l’échelle mondiale. Une forte proportion des décès étaient prématurés (38% des décès dus aux MNT et 27% de l’ensemble des décès).
« Le monde ne sera pas en mesure de réaliser la cible 3.4 des objectifs de développement durables constituant, d’ici à 2030, s'il n’arrive pas à réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématuré due au MNT », a-t-il alerté.
Ce premier symposium sur les maladies chroniques non transmissible qui a rassemblé plus de 300 participants venus de plus de 15 pays africains et européens a été marqués par des ateliers sur le tabac, le sel, l’alcool, le sucre, la drogue, le sport etc. Les résolutions de cette rencontre seront soumises au ministère de la santé et de l’hygiène publique et au 3e sommet mondial sur le diabète et les MNT en novembre prochain à New-York.
Sont appelées, maladies chroniques non transmissible, celles qui ne peuvent pas être transmise à travers un contact physique. Elles sont transmises de façon génétique et environnementaux à savoir les activités physiques, l’alimentation déséquilibrée, l’absence de consommation de fruit et légumes (Cancer, insuffisance rénale, les AVC, l’hypertension artérielle…), le tabagisme, etc.
bsb/tm