Tengrela – Des individus se réclamant des ex-combattants menacent de semer le trouble lors de la célébration de la fête nationale de la Côte d’Ivoire si l'État ne leur reverse pas des primes qui leur seraient promises pendant les périodes de crises militaro-politiques.
Dans un courrier anonyme adressé au préfet de Tengrela, Diomandé Cyrille Ambroise et glissé sous la porte de son bureau, mercredi, ils promettent de s'en prendre aux édifices publics et aux symboles de l'État dans le département de Tengrela et dans plusieurs localités du pays.
Le préfet a informé aussitôt les différentes couches sociales, jeudi, au cours d'une réunion qui s'est tenue à la préfecture, après avoir selon lui, alerté sa hiérarchie. Il a au cours de cette rencontre lue la lettre anonyme.
Dans ce courrier, ces individus ont proféré une menace personnelle contre le préfet, en ciblant sa famille. « Nous connaissons où votre épouse travaille, quel itinéraire elle emprunte chaque jour. Vous pouvez informer qui vous voudrez », conclu le courrier.
Les autorités préfectorales ainsi les responsables des unités de sécurité ont rassuré les populations que des dispositions seront prises pour les protéger. Toutefois, la psychose a gagné les esprits dans le département, signale-t-on.
(AIP)
tmpo/kkf/kam
Dans un courrier anonyme adressé au préfet de Tengrela, Diomandé Cyrille Ambroise et glissé sous la porte de son bureau, mercredi, ils promettent de s'en prendre aux édifices publics et aux symboles de l'État dans le département de Tengrela et dans plusieurs localités du pays.
Le préfet a informé aussitôt les différentes couches sociales, jeudi, au cours d'une réunion qui s'est tenue à la préfecture, après avoir selon lui, alerté sa hiérarchie. Il a au cours de cette rencontre lue la lettre anonyme.
Dans ce courrier, ces individus ont proféré une menace personnelle contre le préfet, en ciblant sa famille. « Nous connaissons où votre épouse travaille, quel itinéraire elle emprunte chaque jour. Vous pouvez informer qui vous voudrez », conclu le courrier.
Les autorités préfectorales ainsi les responsables des unités de sécurité ont rassuré les populations que des dispositions seront prises pour les protéger. Toutefois, la psychose a gagné les esprits dans le département, signale-t-on.
(AIP)
tmpo/kkf/kam