L’ex-Première dame ivoirienne Simone Ehivet Gbagbo a été accueillie, mercredi, dans une liesse populaire à sa résidence de Cocody Riviera-Golf à l’Est d’Abidjan peu après sa remise en liberté, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Les militants et cadres du Front populaire ivoirien (FPI, les deux tendances confondues), ont envahi les encablures du palais de justice d'Abidjan-Plateau mercredi avant de se déporter à la résidence du couple Gbagbo ( ex-couple présidentiel ivoirien) où ils ont réservé un « accueil chaleureux » à Mme Gbagbo qui bénéficie d’une amnistie à l’instar de 800 personnes de la crise postélectorale de 2010.
Mme Simone Gbagbo qui a quitté l'école de gendarmerie où elle était détenue peu après 12h00, heure locale et Gmt dans un véhicule banalisé, a esquissé des pas de danse à son arrivée à sa résidence avec les militants sortis nombreux pour l'accueillir.
L'ex-Première dame devrait être rejointe par les autres détenus (les ex-ministres Moïse Lida Kouasski et Assoa Adou) avant le début de la cérémonie officielle d'accueil, a expliqué à APA l’Ambassadeur Boubacar Koné, un cadre du FPI.
En attendant le début de cette cérémonie, la mobilisation ne faiblit pas à la résidence de l'ex-couple présidentiel ivoirien où les militants et cadres du parti de Laurent Gbagbo continuent d'affluer, selon le constat fait par un journaliste de APA.
Avec des banderoles à l'effigie de M. Gbagbo pour certains où à l'effigie de son épouse pour d'autres, les militants du FPI dansent et chantent pour accueillir leur « championne».
Le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé lundi soir, à la veille du 58ème anniversaire de l’indépendance du pays, avoir pris une ordonnance pour amnistier environ 800 personnes dont Simone Gbagbo et d’autres cadres du FPI dont Lida Kouassi, Assoa Adou.
LB/ls/APA
Les militants et cadres du Front populaire ivoirien (FPI, les deux tendances confondues), ont envahi les encablures du palais de justice d'Abidjan-Plateau mercredi avant de se déporter à la résidence du couple Gbagbo ( ex-couple présidentiel ivoirien) où ils ont réservé un « accueil chaleureux » à Mme Gbagbo qui bénéficie d’une amnistie à l’instar de 800 personnes de la crise postélectorale de 2010.
Mme Simone Gbagbo qui a quitté l'école de gendarmerie où elle était détenue peu après 12h00, heure locale et Gmt dans un véhicule banalisé, a esquissé des pas de danse à son arrivée à sa résidence avec les militants sortis nombreux pour l'accueillir.
L'ex-Première dame devrait être rejointe par les autres détenus (les ex-ministres Moïse Lida Kouasski et Assoa Adou) avant le début de la cérémonie officielle d'accueil, a expliqué à APA l’Ambassadeur Boubacar Koné, un cadre du FPI.
En attendant le début de cette cérémonie, la mobilisation ne faiblit pas à la résidence de l'ex-couple présidentiel ivoirien où les militants et cadres du parti de Laurent Gbagbo continuent d'affluer, selon le constat fait par un journaliste de APA.
Avec des banderoles à l'effigie de M. Gbagbo pour certains où à l'effigie de son épouse pour d'autres, les militants du FPI dansent et chantent pour accueillir leur « championne».
Le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a annoncé lundi soir, à la veille du 58ème anniversaire de l’indépendance du pays, avoir pris une ordonnance pour amnistier environ 800 personnes dont Simone Gbagbo et d’autres cadres du FPI dont Lida Kouassi, Assoa Adou.
LB/ls/APA