Man - Le diocèse de Man a célébré depuis vendredi "les fraternités de la diaspora" dans le cadre de son jubilé d'or dont les festivités ont démarré en février et prennent fin le 18 novembre prochain par une messe à la cathédrale St Michel.
"Ces festivités, nous les voulons éclatées. C'est-à-dire que nous allons consacrer une part à chaque membre de l'église en leur rendant hommage pour montrer que chaque catégorie est importante. Fils de Dieu, il est appelé à travailler à l'édification de l'église. Hier, c’était les jeunes. Aujourd'hui, ce sont les fraternités de la diaspora", a expliqué l'évêque de Man, Mgr Gaspard Beby Gneba.
Les "fraternités de la diaspora" sont réparties en deux groupes, les laïcs d'une part et les clercs et consacrés d'autre part. Ils ont été institués par l'évêque pour appuyer l’église dans sa tâche d'évangélisation, selon le général Boblaé Bossébo Jean-François, président des laïcs. Ces fraternités regroupent les fils et filles originaires du diocèse ou qui y ont un intérêt.
Selon la sœur Sia Solange de la congrégation des sœurs Notre Dame du Calvaire, "les fraternités de la diaspora" sont d'un apport utile."Pour nous les originaires de la région, les fraternités sont un moment de ressourcement humain et culturel", a-t-elle laissé entendre.
L'évêque a assigné aux "fraternités de la diaspora" une mission qui est d’œuvrer à la réconciliation des filles et fils de l'Ouest, car, a-t-il expliqué, ce sont des lieux d'expression de la cohésion sociale.
(AIP)
Amak/kp
"Ces festivités, nous les voulons éclatées. C'est-à-dire que nous allons consacrer une part à chaque membre de l'église en leur rendant hommage pour montrer que chaque catégorie est importante. Fils de Dieu, il est appelé à travailler à l'édification de l'église. Hier, c’était les jeunes. Aujourd'hui, ce sont les fraternités de la diaspora", a expliqué l'évêque de Man, Mgr Gaspard Beby Gneba.
Les "fraternités de la diaspora" sont réparties en deux groupes, les laïcs d'une part et les clercs et consacrés d'autre part. Ils ont été institués par l'évêque pour appuyer l’église dans sa tâche d'évangélisation, selon le général Boblaé Bossébo Jean-François, président des laïcs. Ces fraternités regroupent les fils et filles originaires du diocèse ou qui y ont un intérêt.
Selon la sœur Sia Solange de la congrégation des sœurs Notre Dame du Calvaire, "les fraternités de la diaspora" sont d'un apport utile."Pour nous les originaires de la région, les fraternités sont un moment de ressourcement humain et culturel", a-t-elle laissé entendre.
L'évêque a assigné aux "fraternités de la diaspora" une mission qui est d’œuvrer à la réconciliation des filles et fils de l'Ouest, car, a-t-il expliqué, ce sont des lieux d'expression de la cohésion sociale.
(AIP)
Amak/kp