Séguéla – A la veille de la Tabaski, le marché aux moutons de la commune de Séguéla, sis au quartier Valagbasso, est achalandé à satiété, a constaté l’AIP, lundi, à l’issue d’une tournée qui a également permis de s’enquérir des prix des bêtes jugés à la portée de toutes les bourses.
Une cinquantaine de vendeurs, assis sous des appatams, les bovins attachés aux alentours, discutent des prix avec les éventuels acheteurs qui se présentent.
« Il y a suffisamment de moutons pour la population », déclare leur responsable, Sangaré Mamadou, soulignant que la traite est en deçà de leurs espérances. « Pour nous les vendeurs, ça ne marche pas trop », a-t-il laissé entendre avant d’aller poursuivre le marchandage avec un potentiel acquéreur.
Cet état de fait est la résultante de l’arrivage, ces jours-ci, de plusieurs véhicules en provenance de la Guinée voisine et de campements environnants où des populations, surtout burkinabè, pratiquent un élevage de type familial pour approvisionner le marché.
« On ne se plaint pas trop parce ce que les prix sont un peu abordables par rapport à l’année passée », a confié Bakayoko Memassa, un client qui venait d’acheter l'un des ovins dont les prix oscillent entre 50 000 et 350 000 francs CFA.
La Tabaski ou Aïd-el-Kebir est l'une des plus importantes fêtes de la communauté musulmane qui commémore la soumission d’Abraham à Dieu.
kkp/cmas
Une cinquantaine de vendeurs, assis sous des appatams, les bovins attachés aux alentours, discutent des prix avec les éventuels acheteurs qui se présentent.
« Il y a suffisamment de moutons pour la population », déclare leur responsable, Sangaré Mamadou, soulignant que la traite est en deçà de leurs espérances. « Pour nous les vendeurs, ça ne marche pas trop », a-t-il laissé entendre avant d’aller poursuivre le marchandage avec un potentiel acquéreur.
Cet état de fait est la résultante de l’arrivage, ces jours-ci, de plusieurs véhicules en provenance de la Guinée voisine et de campements environnants où des populations, surtout burkinabè, pratiquent un élevage de type familial pour approvisionner le marché.
« On ne se plaint pas trop parce ce que les prix sont un peu abordables par rapport à l’année passée », a confié Bakayoko Memassa, un client qui venait d’acheter l'un des ovins dont les prix oscillent entre 50 000 et 350 000 francs CFA.
La Tabaski ou Aïd-el-Kebir est l'une des plus importantes fêtes de la communauté musulmane qui commémore la soumission d’Abraham à Dieu.
kkp/cmas