A l’ occasion de son camp national de formation dans le village de Duokro (5 km de Yamoussoukro) le mouvement «Flambeaux et lumières» de scoutisme de la jeunesse africaine d’évangélisation (JEA) a organisé mardi une opération don de sang à laquelle ont pris part 732 campeurs.
Initié avec l’appui des établissements Coulibaly, l’acte consiste pour les flambeaux et lumières à assurer l’autosuffisance en produit sanguin au Centre de transfusion sanguine (CTS) de la capitale politique. « L'objectif est d'arriver t à sauver des vies en permettant aux personnes malades de bénéficier du liquide précieux », a expliqué le commissaire régional Adolphe Motchié directeur du camp de formation de Duokro.
La ville de Yamoussoukro a besoin de 3 500 poches de sang par an, soit 1% de la population estimée à 350 000 habitants pour couvrir son « énorme besoin » en sang.
Dr Bieu Mého en charge de la collecte du sang au centre de transfusion sanguine (CTS) de Yamoussoukro, a salué le geste des scouts en cette période des vacances où le sang se raréfie avec l’absence des élèves « les grands donneurs de sang ». Il a exhorté les autres mouvements à copier leur exemple pour sauver des vies.
Créée en 2008 à Duokro, l’école de formation Flambeaux et lumières de Côte d’Ivoire réunit chaque année dans le mois d'août, les membres du mouvement chrétien en provenance de toutes les localités du pays. La session de formation 2018 débutée le 20 août, a enregistré 730 campeurs dont deux Centrafricains un Béninois et un Tchadien. Elle regroupe les chefs de patrouille, chefs de troupe, les commissaires du District commissaire de région, et responsables du comité local de jeunesse (CLJ).
Ils ont reçu des enseignements sur la discipline, le civisme, la solidarité, le secourisme, la connaissance biblique, la psychologie de l’enfant, les ressources humaines et la comptabilité, la gestion des conflits et des cours d’alphabétisation pour certains sur la supervision du commissaire national Bernard Yao Koffi. Le but est de former des citoyens utiles pour l’église et pour la société.
La dixième édition du camp de formation des flambeaux et lumières a été marquée par une séance d’échographie au profit des populations à coût réduit, et une opération de village propre. Elle prend fin mercredi par la sortie de la 7è promotion des flambeaux et lumières au nombre de 130 après quatre ans de formation dont une année de pratique.
(AIP)
nam/kam
Initié avec l’appui des établissements Coulibaly, l’acte consiste pour les flambeaux et lumières à assurer l’autosuffisance en produit sanguin au Centre de transfusion sanguine (CTS) de la capitale politique. « L'objectif est d'arriver t à sauver des vies en permettant aux personnes malades de bénéficier du liquide précieux », a expliqué le commissaire régional Adolphe Motchié directeur du camp de formation de Duokro.
La ville de Yamoussoukro a besoin de 3 500 poches de sang par an, soit 1% de la population estimée à 350 000 habitants pour couvrir son « énorme besoin » en sang.
Dr Bieu Mého en charge de la collecte du sang au centre de transfusion sanguine (CTS) de Yamoussoukro, a salué le geste des scouts en cette période des vacances où le sang se raréfie avec l’absence des élèves « les grands donneurs de sang ». Il a exhorté les autres mouvements à copier leur exemple pour sauver des vies.
Créée en 2008 à Duokro, l’école de formation Flambeaux et lumières de Côte d’Ivoire réunit chaque année dans le mois d'août, les membres du mouvement chrétien en provenance de toutes les localités du pays. La session de formation 2018 débutée le 20 août, a enregistré 730 campeurs dont deux Centrafricains un Béninois et un Tchadien. Elle regroupe les chefs de patrouille, chefs de troupe, les commissaires du District commissaire de région, et responsables du comité local de jeunesse (CLJ).
Ils ont reçu des enseignements sur la discipline, le civisme, la solidarité, le secourisme, la connaissance biblique, la psychologie de l’enfant, les ressources humaines et la comptabilité, la gestion des conflits et des cours d’alphabétisation pour certains sur la supervision du commissaire national Bernard Yao Koffi. Le but est de former des citoyens utiles pour l’église et pour la société.
La dixième édition du camp de formation des flambeaux et lumières a été marquée par une séance d’échographie au profit des populations à coût réduit, et une opération de village propre. Elle prend fin mercredi par la sortie de la 7è promotion des flambeaux et lumières au nombre de 130 après quatre ans de formation dont une année de pratique.
(AIP)
nam/kam