Agboville – La production de médicaments de qualité par les praticiens de la médecine traditionnelle, est au de la 16ème Journée africaine de la médecine traditionnelle, ouverte vendredi à Agboville sur le thème "Fabrication locale de produits médicaux issus de la pharmacopée traditionnelle dans la région africaine’’.
Selon le directeur-coordonnateur du Programme national de promotion de la médecine traditionnelle, Dr Kroa Ehoulé, la médecine traditionnelle ivoirienne, forte de plus de 4000 praticiens recensés, n’a produit qu’une dizaine de médicaments homologués depuis près de deux décennies. Il a encouragé les tradi-praticiens à produire au moins une vingtaine de médicaments autorisés d’ici l’an 2020, pour combler, dit-il, le retard accumulé dans ce domaine par rapport à d’autres pays de la sous-région ayant dépassé la barre de 200 ou 300 médicaments autorisés.
L’intégration de la médecine traditionnelle dans le système sanitaire a été saluée par le directeur départemental de la Santé Diomandé Abou et le président de la Fédération des tradi-praticiens, Brahima Koné, en ce qu’elle aura permis d’améliorer les performances des districts.
Deux conférences sur ‘’les bonnes pratiques de fabrication de produits issus de la médecine et de la pharmacopée traditionnelle’’, et ‘’la procédure d’homologation des médicaments traditionnels’’ ont meublé cette journée, outre l’exposition de divers produits et la visite guidée dans l’unité de fabrication ‘’Djeka Pharmaco’’de compléments alimentaires agrée par l’Etat.
yy/tm
Selon le directeur-coordonnateur du Programme national de promotion de la médecine traditionnelle, Dr Kroa Ehoulé, la médecine traditionnelle ivoirienne, forte de plus de 4000 praticiens recensés, n’a produit qu’une dizaine de médicaments homologués depuis près de deux décennies. Il a encouragé les tradi-praticiens à produire au moins une vingtaine de médicaments autorisés d’ici l’an 2020, pour combler, dit-il, le retard accumulé dans ce domaine par rapport à d’autres pays de la sous-région ayant dépassé la barre de 200 ou 300 médicaments autorisés.
L’intégration de la médecine traditionnelle dans le système sanitaire a été saluée par le directeur départemental de la Santé Diomandé Abou et le président de la Fédération des tradi-praticiens, Brahima Koné, en ce qu’elle aura permis d’améliorer les performances des districts.
Deux conférences sur ‘’les bonnes pratiques de fabrication de produits issus de la médecine et de la pharmacopée traditionnelle’’, et ‘’la procédure d’homologation des médicaments traditionnels’’ ont meublé cette journée, outre l’exposition de divers produits et la visite guidée dans l’unité de fabrication ‘’Djeka Pharmaco’’de compléments alimentaires agrée par l’Etat.
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