Aboisso - Une opération de cartographie des personnes apatrides et à risques d’apatridie (CAPRA 2018) est menée par le Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) à Aboisso.
Selon le chef de la mission, Azaud Agbognon Frédéric Lionel, cette opération qui couvre le territoire national permettra de confirmer ou d’infirmer le chiffre de 700 000 apatrides attribué à la Côte d’Ivoire.
Elle permettra donc de collecter les données socio-démographiques permettant d’établir l’apatridie des personnes concernées.
Pour M. Azaud, les personnes apatrides sont celles qui ne sont reconnues par aucun pays comme étant son ressortissant du fait de la législation en vigueur.
Entamée le 19 août, cette mission durera 55 jours, a-t-on appris vendredi auprès de la mission.
Quinze mille personnes se sont vu attribuer la nationalité grâce à la loi sur l’identification des personnes victimes d’apatridie en Côte d'Ivoire, avait révélé la ministre Mariatou Koné à la tribune de la 68ème session du Comité exécutif de l’UNHCR le 02 octobre 2017 au palais des Nations Unies à Genève, en Suisse.
Akn/kp
Selon le chef de la mission, Azaud Agbognon Frédéric Lionel, cette opération qui couvre le territoire national permettra de confirmer ou d’infirmer le chiffre de 700 000 apatrides attribué à la Côte d’Ivoire.
Elle permettra donc de collecter les données socio-démographiques permettant d’établir l’apatridie des personnes concernées.
Pour M. Azaud, les personnes apatrides sont celles qui ne sont reconnues par aucun pays comme étant son ressortissant du fait de la législation en vigueur.
Entamée le 19 août, cette mission durera 55 jours, a-t-on appris vendredi auprès de la mission.
Quinze mille personnes se sont vu attribuer la nationalité grâce à la loi sur l’identification des personnes victimes d’apatridie en Côte d'Ivoire, avait révélé la ministre Mariatou Koné à la tribune de la 68ème session du Comité exécutif de l’UNHCR le 02 octobre 2017 au palais des Nations Unies à Genève, en Suisse.
Akn/kp