Abidjan - Le ministre gabonais de la Communication, Guy Bertrand Mapangou, a appelé vendredi, au recueillement de l’ensemble des agents de la radio Gabon, réunis au sein du Syndicat des professionnels de la communication (Syprocom), suite vendredi, au suicide présumé d’un animateur de la radio Gabon, Marius Pierre Fougues, rapporte l’Agence gabonaise de presse (AGP)
Selon les témoignages de ces collègues de manière anonyme, l’animateur et présentateur à Radio Gabon, Marius Pierre Foungues, la cinquantaine révolue, s’est suicidé en raison des impayés de salaire de près de 15 mois et a maintes reprises et par le biais des grèves et autres assemblées générales à l’effet d’attirer l’attention des autorités compétentes, rien n’y est fait.
Excédé donc de vivre dans l’indignité du fait de la mauvaise gestion des ressources financières par d’aucuns, il aurait décidé de se donner la mort, laissant enfants, femmes et amis, indiquent ce vendredi, ces sources anonymes au sein du média.
Ils évoquent, entre autres, l’incapacité de ce dernier à subvenir aux besoins élémentaires de sa famille, de s’acquitter des frais mensuels de loyer au point d’être menacé d’expulsion par le bailleur. C’est d’ailleurs, selon des personnes proches du disparu, la pression mise sur lui par le bailleur qui l’aurait poussé à bout.
(AIP)
sdaf/fmo
Selon les témoignages de ces collègues de manière anonyme, l’animateur et présentateur à Radio Gabon, Marius Pierre Foungues, la cinquantaine révolue, s’est suicidé en raison des impayés de salaire de près de 15 mois et a maintes reprises et par le biais des grèves et autres assemblées générales à l’effet d’attirer l’attention des autorités compétentes, rien n’y est fait.
Excédé donc de vivre dans l’indignité du fait de la mauvaise gestion des ressources financières par d’aucuns, il aurait décidé de se donner la mort, laissant enfants, femmes et amis, indiquent ce vendredi, ces sources anonymes au sein du média.
Ils évoquent, entre autres, l’incapacité de ce dernier à subvenir aux besoins élémentaires de sa famille, de s’acquitter des frais mensuels de loyer au point d’être menacé d’expulsion par le bailleur. C’est d’ailleurs, selon des personnes proches du disparu, la pression mise sur lui par le bailleur qui l’aurait poussé à bout.
(AIP)
sdaf/fmo
