Abidjan- Le gouvernement burkinabé a signé avec la Banque africaine de développement (BAD), une convention de financement du Programme d’appui aux reformes du secteur de l’énergie (PARSE) d’une valeur de 11,7 milliards de FCFA, rapporte l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Selon le représentant de la BAD, Pascal Yembiline, ce programme signé mardi vise à créer les conditions d’un accès inclusif à l’énergie au Burkina Faso, en soutenant la nouvelle vision du gouvernement dans le domaine énergétique qui est en parfaite ligne avec ce que la BAD appelle le « new deal » sur l’énergie. Il consiste à fédérer toutes les initiatives pour l’atteinte des objectifs liés à l’accès universel à l’énergie en Afrique.
Le représentant de la BAD a également annoncé la poursuite de deux opérations en cours d’exécution à savoir le projet d’électrification périurbaine de Ouagadougou et Bobo Dioulasso d’une valeur d’environ 21 milliards de FCFA et celui de la Dorsal Nord, d’un montant d’environ 39 milliards de FCFA pour la construction d’une ligne de transport de très haute tension au départ Birminkebbi au Nigeria jusqu’à Ouagadougou via Niamey.
La ministre de l’Economie, des Finances et du Développement, Rosine Coulibaly, a affirmé que cet appui budgétaire sectoriel vient en réponse aux nombreuses difficultés que connaît le secteur de l’énergie.
Mme Coulibaly a indiqué que la signature de cette convention vient confirmer l’engagement de la BAD à accompagner le processus de développement du Burkina Faso dans le cadre du Plan national de développement économique et social (PNDES).
Le taux d’accès d’électricité au Burkina Faso est de 35,58% avec une croissance de 13% par an. Le pays vise à atteindre une part des énergies renouvelables de 30% d’ici 2020.
sdaf/cmas
Selon le représentant de la BAD, Pascal Yembiline, ce programme signé mardi vise à créer les conditions d’un accès inclusif à l’énergie au Burkina Faso, en soutenant la nouvelle vision du gouvernement dans le domaine énergétique qui est en parfaite ligne avec ce que la BAD appelle le « new deal » sur l’énergie. Il consiste à fédérer toutes les initiatives pour l’atteinte des objectifs liés à l’accès universel à l’énergie en Afrique.
Le représentant de la BAD a également annoncé la poursuite de deux opérations en cours d’exécution à savoir le projet d’électrification périurbaine de Ouagadougou et Bobo Dioulasso d’une valeur d’environ 21 milliards de FCFA et celui de la Dorsal Nord, d’un montant d’environ 39 milliards de FCFA pour la construction d’une ligne de transport de très haute tension au départ Birminkebbi au Nigeria jusqu’à Ouagadougou via Niamey.
La ministre de l’Economie, des Finances et du Développement, Rosine Coulibaly, a affirmé que cet appui budgétaire sectoriel vient en réponse aux nombreuses difficultés que connaît le secteur de l’énergie.
Mme Coulibaly a indiqué que la signature de cette convention vient confirmer l’engagement de la BAD à accompagner le processus de développement du Burkina Faso dans le cadre du Plan national de développement économique et social (PNDES).
Le taux d’accès d’électricité au Burkina Faso est de 35,58% avec une croissance de 13% par an. Le pays vise à atteindre une part des énergies renouvelables de 30% d’ici 2020.
sdaf/cmas