Le Directeur de Cabinet du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable François Kouablan représentant le Ministre, Professeur Joseph Séka SEKA, a présidé les travaux de l’Atelier Régional relatif à la rédaction des sixièmes rapports des Nations Unies sur la Biodiversité ce mardi 11 Septembre 2018 dans les locaux du bureau sous-régional de L’ ONU Environnement. L’élaboration de ce document capital est pilotée par l’agence onusienne (ONU Environnement), le PNUD, et la Convention sur la Diversité Biologique (CDB).
Ces partenaires techniques et financiers ont organisé cette rencontre pour évaluer l’état d’avancement des rapports nationaux des pays francophones de l’Afrique occidentale et centrale. C’est une séance de travail transversale. Le but est de permettre à tous les pays d’étudier ensemble sur une base concrète les difficultés rencontrées, afin de les résoudre à travers des outils techniques.
Selon le fonctionnement de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB), en son article 26, les parties prenantes soumettent des rapports nationaux tous les quatre ans. Ces documents décrivent les mesures prises par les différents pays pour atteindre les objectifs principaux de la CDB. Ils se déclinent en trois aspects : La conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable des ses éléments et le partage juste et équitable des avantages découlant de l’exploitation de ses ressources énergétiques.
Le Directeur de Cabinet, François Kouablan a insisté sur la préservation de nos ressources naturelles en voie de disparition. Il invite tout le monde à en faire une priorité à long terme. « La diversité biologique est un patrimoine naturel qui procure de très nombreux bienfaits indispensables à la vie de l’homme et d’autres espèces. Il est donc de notre devoir de la protéger. Faisons-le pour la survie des espèces et des écosystèmes. Il est certain que seuls les rapports bien rédigés et renseignés nous permettront d’avoir une idée réaliste de l’état de notre biodiversité afin d’opérationnaliser sa gestion durable. ».
La Convention sur la Biodiversité Biologique est née en 1992 à Rio lors de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement. Initiative du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, c’est un accord conclu entre plusieurs Etats qui s’engagent à maintenir l’équilibre écologique planétaire tout en allant vers un développement économique intelligent.
Ces partenaires techniques et financiers ont organisé cette rencontre pour évaluer l’état d’avancement des rapports nationaux des pays francophones de l’Afrique occidentale et centrale. C’est une séance de travail transversale. Le but est de permettre à tous les pays d’étudier ensemble sur une base concrète les difficultés rencontrées, afin de les résoudre à travers des outils techniques.
Selon le fonctionnement de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB), en son article 26, les parties prenantes soumettent des rapports nationaux tous les quatre ans. Ces documents décrivent les mesures prises par les différents pays pour atteindre les objectifs principaux de la CDB. Ils se déclinent en trois aspects : La conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable des ses éléments et le partage juste et équitable des avantages découlant de l’exploitation de ses ressources énergétiques.
Le Directeur de Cabinet, François Kouablan a insisté sur la préservation de nos ressources naturelles en voie de disparition. Il invite tout le monde à en faire une priorité à long terme. « La diversité biologique est un patrimoine naturel qui procure de très nombreux bienfaits indispensables à la vie de l’homme et d’autres espèces. Il est donc de notre devoir de la protéger. Faisons-le pour la survie des espèces et des écosystèmes. Il est certain que seuls les rapports bien rédigés et renseignés nous permettront d’avoir une idée réaliste de l’état de notre biodiversité afin d’opérationnaliser sa gestion durable. ».
La Convention sur la Biodiversité Biologique est née en 1992 à Rio lors de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement. Initiative du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, c’est un accord conclu entre plusieurs Etats qui s’engagent à maintenir l’équilibre écologique planétaire tout en allant vers un développement économique intelligent.