La Haute autorité pour la bonne gouvernance (Habg) a reçu la visite de l’Office central de lutte contre l’enrichissement illicite (Oclei) du Mali le lundi 17 septembre 2018 à Abidjan à son siège de Cocody-Riviera 3.
Koné Moussa, doyen du conseil de la Habg par ailleurs, représentant du président de l’institution, s’est dit honoré par une telle visite. Pour lui, c’est la bonne compréhension de ces conventions qui est traduite à travers cette coopération qui est sous-régionale. Et d’ajouter : « Cela démontre que nous avons bien compris que, du fait de la similitude de nos sociétés, le phénomène de l’enrichissement illicite a des causes et des manifestations quasi identiques dans nos pays respectifs. Il faut donc établir, entretenir et maintenir une étroite collaboration entre nos organes de lutte contre la corruption et les infractions assimilées conformément aux engagements pris par nos Etats dans les différentes conventions en la matière. Je souhaite qu’une attention particulière soit prêtée à cette mission ». La délégation malienne conduite par Moumouni Guindo, président de l’Oclei s’est dit ravi de ce temps de travail avec HABG. Il a souligné : « le partenariat et la coopération sont des leviers incontournables en lesquels les instruments internationaux fondent d’immenses espoirs ». Il poursuit :« Nous sommes convaincus, à l’Office Central, que, seuls, nous ne réussirons pas le combat de la lutte contre la corruption, l’enrichissement illicite et les infractions assimilées. Chacun, chaque entité a une partition à jouer ; et notre action commune sera d’autant plus efficace que nous aurons à cultiver la concertation, la collaboration et la coopération. Nous serons, tous, plus efficaces chaque fois que nos actions s’imprègnent de l’esprit de complémentarité, de mutualisation et de synergie. Dans cet esprit, nous voudrions œuvrer pour le développement d’une coopération sud-sud féconde et fructueuse». Pour lui, le cas de la Habg est un exemple vu que sa renommée dépasse les frontières. Donc « c’est à cette source abondante que l’Office Central veut s’abreuver et je sais que votre agrément ne fera pas défaut. » .
La HABG a, dans sa quête de bonnes pratiques, visité cette année l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption au Sénégal et l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de Lutte contre la corruption au Burkina Faso. Notons que cette visite d’étude a été sollicitée par l’entité malienne pour établir les liens institutionnels de coopération et de partenariat entre les autorités nationales chargées d’améliorer la gouvernance publique dans les pays respectifs.
TAB avec AZ
Koné Moussa, doyen du conseil de la Habg par ailleurs, représentant du président de l’institution, s’est dit honoré par une telle visite. Pour lui, c’est la bonne compréhension de ces conventions qui est traduite à travers cette coopération qui est sous-régionale. Et d’ajouter : « Cela démontre que nous avons bien compris que, du fait de la similitude de nos sociétés, le phénomène de l’enrichissement illicite a des causes et des manifestations quasi identiques dans nos pays respectifs. Il faut donc établir, entretenir et maintenir une étroite collaboration entre nos organes de lutte contre la corruption et les infractions assimilées conformément aux engagements pris par nos Etats dans les différentes conventions en la matière. Je souhaite qu’une attention particulière soit prêtée à cette mission ». La délégation malienne conduite par Moumouni Guindo, président de l’Oclei s’est dit ravi de ce temps de travail avec HABG. Il a souligné : « le partenariat et la coopération sont des leviers incontournables en lesquels les instruments internationaux fondent d’immenses espoirs ». Il poursuit :« Nous sommes convaincus, à l’Office Central, que, seuls, nous ne réussirons pas le combat de la lutte contre la corruption, l’enrichissement illicite et les infractions assimilées. Chacun, chaque entité a une partition à jouer ; et notre action commune sera d’autant plus efficace que nous aurons à cultiver la concertation, la collaboration et la coopération. Nous serons, tous, plus efficaces chaque fois que nos actions s’imprègnent de l’esprit de complémentarité, de mutualisation et de synergie. Dans cet esprit, nous voudrions œuvrer pour le développement d’une coopération sud-sud féconde et fructueuse». Pour lui, le cas de la Habg est un exemple vu que sa renommée dépasse les frontières. Donc « c’est à cette source abondante que l’Office Central veut s’abreuver et je sais que votre agrément ne fera pas défaut. » .
La HABG a, dans sa quête de bonnes pratiques, visité cette année l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption au Sénégal et l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de Lutte contre la corruption au Burkina Faso. Notons que cette visite d’étude a été sollicitée par l’entité malienne pour établir les liens institutionnels de coopération et de partenariat entre les autorités nationales chargées d’améliorer la gouvernance publique dans les pays respectifs.
TAB avec AZ